Occurences de l'expression

eau

pour DANCOURT, Florent Carton dit

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L'OPÃ‰RATEUR BARRY (1702)

La meilleure partie de nos Acteurs et de nos Actrices est à Fontainebleau depuis un mois, nous n'avons pu jouer que cinq ou six Pièces, que nous avons recommencées quatre ou cinq fois chacune ; pensez-vous que cela soit fort agréable au public, et qu'il ne paraisse pas là-dedans une négligence qui fait aussi qu'on nous néglige. (Prologue, scène 2, MONSIEUR DANCOURT)
Non : mais on connaîtra du moins que le petit nombre d'Acteurs qui demeure à Paris, se donne du soin pour plaire ; et ce petit nombre ne pouvant suffire par lui-même à jouer de certaines Pièces anciennes ou nouvelles, on ne peut que nous savoir gré de laisser Monsieur l'Opérateur Barry donner une espèce de nouveauté, qui sera peut-être moins mal reçue que nous ne pensons l'un et l'autre. (Prologue, scène 2, MONSIEUR DANCOURT)
J'ai piou de bien que je n'en veux : mais j'ai d'autres sec rets, où le beau sexe ne sera peut-être pas insensible. (Prologue, scène 4, MONSIEUR BARRY)
Le trésor de la beauté, le magasin des agréments, l'arsenal de l'amour. (Prologue, scène 4, MONSIEUR BARRY)
Je vous apporte de quoi pousser la beauté et la jeunesse jusques par-delà la décrépitude. (Prologue, scène 4, MONSIEUR BARRY)
C'est lui qui m'a rendu beau comme vous me voyez. (Prologue, scène 4, JODELET)
Enfin, un Élixir spécifique, que je puis appeler le supplément de la beauté, le réparateur des visages, et l'abrégé universel de tous les charmes qui ont été refusés par la nature. (Prologue, scène 4, MONSIEUR BARRY)
Mais, vous autres, belles Dames, vous n'avez pas besoin de mes secrets, je le sais, je le vois, ce réduit est aujourd'hui le centre des charmes et de la beauté, et je vois bien qu'il faut attendre un autre jour pour le débit de mes trésors, et me borner présentement au seul honneur de vous donner en impromptu le divertissement d'une espèce de petite Farce, telle que j'en faisais autrefois représenter assez près d'icI. Nous y joindrons un petit Ballet, où tout le monde entrera masqué. (Prologue, scène 4, MONSIEUR BARRY)
Sans adieu, beau-père. (Acte 2, scène 2, SPACAMONTE)
Beau-père… Voilà un mariage bientôt bâtI. Je ne veux point de ce Bretteur-là dans ma maison. (Acte 2, scène 3, GARGUILLE)
Voici la maison de Zerbinette, elle est de ma connaissance, et cette petite vieille Italienne en sait beaucoup. (Acte 2, scène 3, GARGUILLE)
Je ne m'apercevais pas que nous avions auprès de nous un jeune homme, tout des plus beaux et des mieux faits. (Acte 2, scène 8, ZERBINETTE)
C'est un domestique, que ma mère affectionne beaucoup. (Acte 2, scène 8, ISABELLE)
Tenez, mon ami, voilà un écu, pour avoir un chapeau. (Acte 2, scène 8, ZERBINETTE)
L'usage qu'on fait de l'eau, v.1 (Acte 2, scène 12, SPACAMONTE)
Mais celui du vin nouveau, v.3 (Acte 2, scène 12, SPACAMONTE)
Je suis complaisant : allons rasade d'eau de vie. (Acte 2, scène 12, SPACAMONTE)
Rasade d'eau-de-vie ! (Acte 2, scène 12, ZERBINETTE)
Voilà un beau correctif. (Acte 2, scène 12, ZERBINETTE)
Mon beau Capitaine, sortez de votre étonnement. (Acte 2, scène 13, MOSTELIN)
Je ne puis boire d'eau dans ma tasse, v.38 (Acte 2, scène 17, JODELET)
Ton mal n'est pas un mal nouveau ; v.44 (Acte 2, scène 17, MONSIEUR BARRY)
Heureux, heureux, qui ne fait point usage de l'eau v.45 (Acte 2, scène 17, MONSIEUR BARRY)
Descendit fort vieux au tombeau ; v.47 (Acte 2, scène 17, MONSIEUR BARRY)
Pour l'eau. v.49 (Acte 2, scène 17, MONSIEUR BARRY)

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LES AGIOTEURS (1710)

Il n'y a pas de l'eau à boire. (Acte 1, scène 8, TRAPOLIN)
Avec un nouveau Traitant, qui est obligé de payer aujourd'hui partie de ses avances, pour n'être pas exclus d'un traité... (Acte 1, scène 8, TRAPOLIN)
Quand on est trois ou quatre forts bureaux de bonne intelligence... (Acte 1, scène 8, TRAPOLIN)
Il faut finir, il faut finir : vous ne me dites rien de nouveau, je sais bien cela : mais si Madame Sara est prête à finir, elle, je ne fais que de commencer, moi. (Acte 1, scène 8, TRAPOLIN)
Ce sera assez d'avertir ces quatre endroits-là, les petits bureaux s'y conformeront. (Acte 1, scène 9, TRAPOLIN)
Ces Messieurs-là sont les maîtres, à bien prendre la chose ; et après tout, ils ont beau dire, c'est à la robe qu'ils parlent, ce n'est pas à la personne. (Acte 2, scène 3, DURILLON)
Ce sont Messieurs Bluet et Duraiseau ? (Acte 2, scène 7, CRAQUINET)
Je l'ai pourtant toujours connue pour une des plus robustes du temps présent, et je n'en sache point d'aussi forte parmi tous ces Messieurs, c'est beaucoup dire. (Acte 2, scène 8, DURILLON)
Un petit scrupule que mon beau-père, Monsieur de la Forêt, m'a mis dans la tête : il dit que j'ai trop gagné dans une petite affaire. (Acte 2, scène 8, CANGRÈNE)
Votre beau-père scrupuleux sur le profit ! (Acte 2, scène 8, TRAPOLIN)
Je me marierai peut-être bientôt : mais je n'aurai point de beau-père, Dieu merci. (Acte 2, scène 8, TRAPOLIN)
Sans nantissement et sans billet peut-être ; et c'est cela qui chagrine le beau-père ? (Acte 2, scène 8, DURILLON)
Et le beau-père le Caissier trouve à redire à cela ? (Acte 2, scène 8, TRAPOLIN)
Il y a un petit article secret qui lui fait peine : la rente du contrat a couru pendant les six mois que je l'ai gardé, le beau-père veut que j'en tienne compte à mon ami : cela est-il juste ? (Acte 2, scène 8, CANGRÈNE)
On m'a adressé à vous pour mé lé faciliter : fournissez-moi pour vingt mille livres dé bon papier, et je vous en fournis la valeur en beaux et bons louis d'or, ou monnaie blanche. (Acte 2, scène 9, DARGENTAC)
Vous mettez lé papier au niveau de l'argent, sans doute ? (Acte 2, scène 9, DARGENTAC)
Jour de Dieu, tu me les donneras, ou nous verrons beau jeu. (Acte 2, scène 13, LA BARONNE)
C'est un beau denier. (Acte 3, scène 9, TRAPOLIN)
Il serait beau qu'il me laissât manquer de quelque chose. (Acte 3, scène 9, DAUDINET)
Tout cela est beau et bon ; mais en faisant affaires avec vous, je n'en veux point avoir avec votre famille. (Acte 3, scène 9, TRAPOLIN)
Je vois que Monsieur a beaucoup de probité. (Acte 3, scène 9, DAUDINET)
Prenez vingt mille francs, cela vous rendra quelque plus de moitié, et avec cela, de plus de trois mois d'ici vous n'aurez pas besoin de nouveaux expédients. (Acte 3, scène 9, DURILLON)
Allez vous-même me chercher mon chapeau, ma canne, ma perruque, Monsieur Dubois. (Acte 3, scène 15, TRAPOLIN)
Cache cette maudite manne, cache-là vite, et serre le sac dans ton bureau, je n'ai pas le loisir d'ouvrir ma cause. (Acte 3, scène 17, TRAPOLIN)
Ce jeune drôle-là promet beaucoup. (Acte 3, scène 21, DUBOIS)
On ne peut pas beaucoup gagner sans perdre quelquefois ; et tel qui ne s'y attend pas, me remboursera de la perte. (Acte 3, scène 21, TRAPOLIN)
Il y avait trois mille francs dans le sac, bourreau, il y avait trois mille francs ; de quoi diantre rte mêles-tu ? (Acte 3, scène 21, TRAPOLIN)

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LES ENFANTS DE PARIS (1699)

Et puis sur nouveaux frais nous nous verrons toujours ? v.122 (Acte 1, scène 4, FINETTE)
Que d'affecter beaucoup d'attention v.235 (Acte 1, scène 6, FINETTE)
Ah, bourreau, je t'étranglerai. v.482 (Acte 1, scène 8, MONSIEUR HARPIN)
Vous ne haïssez pas le beau sexe pourtant. v.489 (Acte 1, scène 8, MERLIN)
De tout mon coeur. Il serait beau, vraiment, v.523 (Acte 1, scène 9, MONSIEUR HARPIN)
Beau sujet d'embarras ? v.571 (Acte 1, scène 9, FINETTE)
Pourquoi non ? Sa beauté v.650 (Acte 2, scène 1, MADAME BRICHONNE)
Sous le beau nom de Monsieur Boniface, v.737 (Acte 2, scène 5, FINETTE)
Pourquoi, donc ? Il n'est pas nouveau qu'on se méprenne. v.827 (Acte 2, scène 8, CLITANDRE)
D'un grand fardeau, je serais soulagé ; v.844 (Acte 2, scène 8, MERLIN)
Et dans le fond, il n'est ni bon, ni beau, v.928 (Acte 2, scène 11, MADAME ARGANTE)
Dès qu'on voit un godelureau, v.929 (Acte 2, scène 11, MADAME ARGANTE)
Un Godelureau que Valère. v.932 (Acte 2, scène 11, ANGÉLIQUE)
De ruineuses nouveautés. v.997 (Acte 2, scène 12, MONSIEUR HARPIN)
J'y trouverai pour moi beaucoup à profiter ; v.1015 (Acte 2, scène 12, CLITANDRE)
Je puis offrir à vos beautés, v.1272 (Acte 3, scène 11, MONSIEUR HARPIN)
C'est ce beau fils. Venez, l'homme à bonne fortune. v.1333 (Acte 3, scène 12, MONSIEUR HARPIN)
On y souhaite aussi beaucoup votre présence. v.1401 (Acte 3, scène 15, MONSIEUR HARPIN)
Oui, beaucoup de malice. v.1492 (Acte 4, scène 1, MERLIN)
Avec Monsieur votre beau-frère, v.1617 (Acte 4, scène 4, FINETTE)
J'y vois beaucoup de vraisemblance, v.1635 (Acte 4, scène 4, MADAME ARGANTE)
Laissez-moi faire, allez, nous allons voir beau jeu. v.1782 (Acte 4, scène 7, MERLIN)
Complimenter les nouveaux mariés. v.1820 (Acte 4, scène 7, MERLIN)
D'un nouveau débarqué vous avez l'innocence. v.1858 (Acte 5, scène 1, MONSIEUR HARPIN)
Ses nobles gestes, ses beaux faits : v.1865 (Acte 5, scène 1, MONSIEUR HARPIN)
Très peu capable ? Il l'est beaucoup. v.1912 (Acte 5, scène 3, MONSIEUR HARPIN)
Et le bourreau ne les a revendus v.2024 (Acte 5, scène 9, MERLIN)
Tu reconnais par tes beaux tours v.2044 (Acte 5, scène 11, MONSIEUR HARPIN)

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LES VACANCES (1697)

Non, palsanguenne, vous avez beau dire, Monsieur de Lépine, je ne saurais m'accoutumer à stilà. (Acte 1, scène 1, LE MAGISTER)
Acoutez, n'y a que deux mots qui sarvent ; vous êtes nouveau venu dans le village aussi bien que ly, ne vous brouillez point avec les habitants. (Acte 1, scène 1, LE MAGISTER)
Hé bien, mon pauvre Lépine, je suis sur mes terres ; et me voilà pourtant, en dépit de l'envie, propriétaire du Château et de la Seigneurie de Gaillardin. (Acte 1, scène 3, MONSIEUR GRIMAUDIN)
Venez donc voir ce que vous en ferez ; ils veulent mettre leurs chevaux dans le Château, parce qu'il n'y a pas assez d'écuries dans le village. (Acte 1, scène 4, MADAME LA ROCHE)
Leurs chevaux dans le Château ! (Acte 1, scène 4, MONSIEUR GRIMAUDIN)
Allez, allez, les jeunes gens d'à présent ont beau être ridicules et s'en faire accroire, il n'y en a point qui pousse la sottise jusques-là. (Acte 1, scène 7, MADAME LA ROCHE)
Allons, allons, dites-moi franchement vos petites affaires : vous avez quelque godelureau dans le coeur ou dans la cervelle, sur ma parole. (Acte 1, scène 7, MADAME LA ROCHE)
Vraiment, vous avez un plaisant original de père ; inviter d'honnêtes gens à venir le voir dans un château dont il n'est pas le maître, et où le Roi met garnison de gens d'armes. (Acte 1, scène 8, MADAME PERRINELLE)
Ces brutaux-là n'ont plus de considération pour le beau sexe. (Acte 1, scène 8, MADAME PERRINELLE)
Parce que son père, que j'ai vu petit clerc chez mon oncle l'Auditeur, au sortir de calotin, a trouvé le secret de s'approprier un mauvais Château, qui dans le fonds n'est pas grand'chose ? (Acte 1, scène 9, MADAME PERRINELLE)
Il y a déjà de ces Messieurs à la chasse, des Dames dans le Parc, le reste joue à l'ombre dans la Salle de mon Château, et vous voilà encore ici, vous autres ? (Acte 1, scène 10, MONSIEUR GRIMAUDIN)
Est-il arrivé quelque chose de nouveau ? (Acte 1, scène 12, MONSIEUR GRIMAUDIN)
Non, vraiment, au contraire, beaucoup d'honnêtetés, et ils veulent à toute force les mener souper avec eux à la Croix blanche. (Acte 1, scène 12, MADAME LA ROCHE)
Entrez au Château, Madame Perrinelle. (Acte 1, scène 12, MONSIEUR GRIMAUDIN)
Oui : j'ai demandé ce Village au bureau, j'ai eu le crédit de l'obtenir, et j'y viens faire expirer sous le bâton, ou à force de persécutions du moins, un maraud de Procureur qui a eu l'insolence de se faire adjuger la Terre de mon oncle. (Acte 1, scène 14, CLITANDRE)
Palsanguenne, Monsieu l'Officier, vous devez être bian content de nous : je venons de disposer les billets ; et en conséquence de vos bonnes intentions pour notre nouviau Signeur, conformément à celles que j'avais itou pour ly-da, de vos cinquante hommes, j'en ons déjà logé trente cinq, tant dans son Château que dans sa farme ; ils seront morgué là à bouche que veux-tu : c'est un fesse-mathieu qui a de quoi, ne vous boutez pas en peine. (Acte 1, scène 15, LE MAGISTER)
Je vais vous annoncer au Château. (Acte 1, scène 16, MADAME PERRINELLE)
Oh, pas tant que vous, Monsieur, à beaucoup près ; mais c'est la vieille du portrait, je l'ai d'abord reconnue. (Acte 1, scène 17, LÉPINE)
Que votre Capitaine va devenir votre beau-frère. (Acte 1, scène 19, MADAME LA ROCHE)
C'est lui qui est depuis peu Seigneur du Château que vous voyez. (Acte 1, scène 19, ANGÉLIQUE)
Bon tant mieux, grand merci, beau-frère : il n'est morbleu rien tel pour faire fortune que le canal des femmes ; et combien de grands Officiers seraient très subalternes, s'ils n'avaient eu de jolies soeurs ou de jolies cousines ? (Acte 1, scène 19, MAUGREBLEU)
Cet animal-là serait mon beau-frère ! (Acte 1, scène 21, MAUGREBLEU)
Qu'on fasse venir ces gens qui sont au Château. (Acte 1, scène 23, CLITANDRE)
Honneur à votre nouveau Seigneur, et au beau-père de notre Capitaine. (Acte 1, scène 23, MAUGREBLEU)
Il se rend maître d'un Château, v.17 (Acte 1, scène 24, LA SUISSESSE)
Entouré d'un fossé plein d'eau. v.18 (Acte 1, scène 24, LA SUISSESSE)
À son nouveau Seigneur. v.27 (Acte 1, scène 24, UN PROCUREUR)
Dans son Château du Gaillardin. v.69 (Acte 1, scène 24, UN PROCUREUR)
Dans son Château du Gaillardin. v.71 (Acte 1, scène 24, LE CHOEUR)
Dans son Château du Gaillardin. v.77 (Acte 1, scène 24, LE MAGISTER)
Dans son Château du Gaillardin. v.79 (Acte 1, scène 24, LE CHOEUR)
Dans son Château du Gaillardin. v.85 (Acte 1, scène 24, LE BARBIER)
Dans son Château du Gaillardin. v.87 (Acte 1, scène 24, LE CHOEUR)
Dans son Château du Gaillardin. v.93 (Acte 1, scène 24, LA MEUNIÈRE)
Dans son Château du Gaillardin. v.95 (Acte 1, scène 24, LE CHOEUR)
En beau latin, v.99 (Acte 1, scène 24, LE PROCUREUR FISCAL)
Dans son Château du Gaillardin. v.101 (Acte 1, scène 24, LE PROCUREUR FISCAL)
Dans son Château du Gaillardin. v.103 (Acte 1, scène 24, LE CHOEUR)
Dans son Château du Gaillardin. v.109 (Acte 1, scène 24, MAUGREBLEU)
Dans son Château du Gaillardin. v.111 (Acte 1, scène 24, LE CHOEUR)

LA DÃ‰ROUTE DU PHARAON (1693)

Les Dames sont priées : qu'on mette au bas de chaque lettre, par apostille, que le rôt sera de chez la Guerbois, le vin de Darboulin, le fruit, de la rue des Lombards ; et que j'essaie un nouveau cuisinier dont les ragoûts seront autant de chefs-d'oeuvre. (Acte 1, scène 2, BELISE)
Je n'en doute point du tout, moi ; la déroute des Jeux vous donne beau jeu à vous, et Madame ne saurait plus condamner vos sentiments, puisque les voilà justifiés par Arrêt. (Acte 1, scène 10, MARTON)
Il y a beaucoup de Commanderies de notre Ordre du côté des Alpes ; mais il me semble que je n'ai pas encore ouï parler de ce Seigneur-là. (Acte 1, scène 11, FRONTIN)
Oui morbleu, je vous en réponds, nous nous connaissons en habiles joueurs, mieux que les brocanteurs ne se connaissent en tableaux. (Acte 1, scène 11, FRONTIN)
Le troupeau se rassemble à la fin ; voici déjà Clitandre, le bel esprit. (Acte 1, scène 16, LA COMTESSE)
Et tôt, tôt de l'eau des Carmes, de la Reine de Hongrie, du papier brûlé, du vinaigre : il faut lui couper son lacet d'abord. (Acte 1, scène 18, LA COMTESSE)
Mais ventrebleu on y jouera comme de coutume, ou je ferai beau bruit pour mon argent. (Acte 1, scène 19, LE CAISSIER)
Cela me fait souvenir de mes pierreries, il faut absolument nous laisser jouer, Madame, vous avez beau faire. (Acte 1, scène 19, LA MARQUISE)
Cette affaire-ci est plus fâcheuse pour lui que pour un autre, et je vous assure qu'il perdra beaucoup. (Acte 1, scène 19, CLITANDRE)
Je carabinais, et j'avais beau perdre, je disais toujours en sortant, je gagne ; et cela n'était qu'un prétexte pour ménager la réputation de vingt femmes que je considère, et que voilà maintenant exposées aux traits de la médisance ; ce n'est pas de ma faute. (Acte 1, scène 20, ÉRASTE)
Et c'est ce jeu-là qu'il fallait défendre, et non pas le Lansquenet et le Pharaon, qui sont les plus beaux jeux du monde, les plus universels, qui peuvent amuser utilement trente ou quarante personnes à la fois, et où l'on ne saurait faire la moindre petite friponnerie. (Acte 1, scène 21, MARTON)
Non assurément, mais vous serez chaudement dans la cave, et l'on ne s'avisera jamais d'aller chercher des joueuses parmi des tonneaux. (Acte 1, scène 23, MARTON)
Oui, Madame, dans des carrières, on se trouvera là à certaine heure, les carrosses se tiendront à une certaine distance ; et on jouera aussi beau jeu que dans l'Hôtel le mieux meublé, je vous en réponds. (Acte 1, scène 23, LE MARQUIS)
Un bateau serait bien meilleur. (Acte 1, scène 23, MARTON)
Un bateau, Marton ! (Acte 1, scène 23, LA MARQUISE)
L'imagination du bureau n'est pas mauvaise, je donne assez là-dedans. (Acte 1, scène 24, LA MARQUISE)
Il y aurait ici un beau coup à faire. (Acte 1, scène 25, FRONTIN)
Une beauté presque naissante v.36 (Acte 1, scène 25, CHOEUR)
Nous avons chassé deux fripons, il en est revenu d'autres en masques ; cette Chauve-Souris et ce Perroquet sont des oiseaux de mauvais présage : mais sandis ils ne s'envoleront pas, et je leur vais rogner les ailes ; je tiens le mien, saisissez le vôtre. (Acte 1, scène 26, ÉRASTE)
Une beauté jeune et brillante, v.66 (Acte 1, scène 27, ENSEMBLE)
Gagne beaucoup, et fort contente, v.68 (Acte 1, scène 27, ENSEMBLE)

LES FONDS PERDUS (1686)

Doucement, Monsieur, doucement, nous sommes ici chez elle et quoiqu'elle soit sortie, elle a un certain maraud de valet bègue, qui a beaucoup de peine à parler ; mais on entend merveilleusement bien tout ce qu'on dit, et qui est toujours au guet pour écouler. (Acte 1, scène 1, MERLIN)
C'est une petite entreprise utile et nécessaire pour tirer de la bonne dame certains deux mille écus qu'elle a reçus depuis peu, et qui seront beaucoup mieux dans nos coffres que dans les siens. (Acte 1, scène 1, MERLIN)
Ne serez-vous pas bien aise de devenir le beau-père de Monsieur votre père ? (Acte 1, scène 2, MERLIN)
Pour cela oui, j'en viendrai à bout, pourvu que vous soyez raisonnables, et que, vous continuiez toujours d'avoir beaucoup de complaisance, vous pour Monsieur Oronte, et vous pour Madame Gérante ; que vous n'alliez point effaroucher leurs esprits par des refus ; mais que vous vous serviez au contraire du faible qu'ils ont, pour obtenir un délai, et pour vous approprier leurs dépouilles. (Acte 1, scène 2, MERLIN)
Tu prends donc cette affaire avec beaucoup de chaleur. (Acte 1, scène 3, MERLIN)
Il serait beau vraiment que vous lui coupassiez l'herbe sous le pied. (Acte 1, scène 6, LISETTE)
Vous avez beau dire, et beau me prier, j'aimerais mieux mourir que d'en avoir rien fait. (Acte 2, scène 2, LISETTE)
Le beau doute ! (Acte 2, scène 4, LISETTE)
Il ne s'était jamais vu un si beau train. (Acte 2, scène 5, MERLIN)
Oui, Madame, chez Rousseau. (Acte 2, scène 5, MERLIN)
Qu'est-ce que c'est que Rousseau ? (Acte 2, scène 5, MADAME GÉRANTE)
Il y avait une moitié d'agneau qui avait une mine admirable, à quoi il n'a pas touché. (Acte 2, scène 5, MERLIN)
Pardonnez-moi, Madame ; mais, fort peu de chose, un poulet de grain seulement, un dindon et un lapereau. (Acte 2, scène 5, MERLIN)
Oui, de son nouveau domicile, j'ai rencontré notre partie ; un honnête pousse-cul m'a fait la grâce de me la montrer ; car, je ne la connaissais point. (Acte 2, scène 5, MERLIN)
"On dit que vous devez épouser aujourd'hui Madame Gérante ; elle a moins de jeunesse et moins de beauté que moi, et ne peut avoir tant d'amour." (Acte 3, scène 7, MADAME GÉRANTE)
Et vous mon beau-père, Monsieur ? (Acte 3, scène 9, ANGÉLIQUE)

LA MAISON DE CAMPAGNE (1697)

Pas trop ; mais le vieux pénard se désespère souvent ; car, il a beau faire et beau dire, madame sa femme va toujours son train. (Acte 1, scène 1, LISETTE)
Ah, bourreau ! (Acte 1, scène 1, MONSIEUR BERNARD)
Voilà un faisan et quelques perdreaux qu'il vous envoie. (Acte 1, scène 6, LE SOLDAT)
Comment morbleu, il m'envoie un faisan et quatre perdreaux, et il m'amène cinq ou six bouches à nourrir ? (Acte 1, scène 6, MONSIEUR BERNARD)
Baron, te faudra-t-il beaucoup prier pour te faire demeurer à la cour de cette princesse ? (Acte 1, scène 10, LE MARQUIS)
Voilà de beaux souhaits, vraiment : mais finissons. Ne venez-vous pas joindre la compagnie ? (Acte 1, scène 14, MADAME-BERNARD)
Non pas, s'il vous plaît, ma soeur, de petites perdrix, de petites perdrix ; et le médecin dit que cela nous rétablira beaucoup mieux. (Acte 1, scène 16, LE COUSIN)
Y a-t-il encore quelque chose de nouveau ? (Acte 1, scène 21, MONSIEUR BERNARD)
J'appellerai les passants, si vous voulez, et je gage qUe vous allez couper la gorge à tous les autres cabaretiers : ils ne gagneront pas de l'eau. (Acte 1, scène 26, THIBAUT)
C'est un accommodement qu'on veut faire entre deux gentilshommes qui, depuis vingt-cinq ou trente ans, sont à couteaux tirés pour une dispute qu'eurent autrefois leurs grands-pères. (Acte 1, scène 27, DORANTE)
Sont-ils beaucoup ? (Acte 1, scène 27, MONSIEUR BERNARD)
Savez-vous bien que vous tenez le plus beau cabaret de toute la route ? (Acte 1, scène 32, LA FLÈCHE)

LA TRAHISON PUNIE (1707)

Par l'amour peu, beaucoup par le dérèglement. v.6 (Acte 1, scène 1, FABRICE)
Celle que vous servez présume beaucoup d'elle ; v.44 (Acte 1, scène 1, DON ANDRÉ)
Il me croit ou bien sot, ou beaucoup endurant. v.70 (Acte 1, scène 3, DON ANDRÉ)
Beaucoup. v.128 (Acte 1, scène 6, DON ANDRÉ)
Dont à d'autres beautés je sais faire ma cour. v.174 (Acte 1, scène 7, DON ANDRÉ)
Je vous devrai beaucoup, si par vous j'en suis quitte ; v.420 (Acte 2, scène 1, LÉONOR)
Va, suis ton nouveau maître. v.701 (Acte 2, scène 10, DON ANDRÉ)
C'est le coeur qui gémit, plus la beauté le charme. v.786 (Acte 3, scène 3, DON JUAN)
Adieu. Le beau régale ! v.798 (Acte 3, scène 4, JACINTE)
Ou dedans, ou dehors, aura-t-il plus beau jeu ? v.920 (Acte 3, scène 7, FABRICE)
Nous allons voir beau jeu. v.1007 (Acte 3, scène 15, FABRICE)
Pas tout à fait encor, mais beaucoup avancée. v.1062 (Acte 3, scène 16, DON ANDRÉ)
Le beau sujet de crainte ! v.1118 (Acte 4, scène 2, JACINTE)
Nous sommes seuls, je dois être votre beau-père, v.1186 (Acte 4, scène 5, DON FÉLIX)
(Car voyez-vous, Monsieur, j'ai beaucoup de pudeur). v.1263 (Acte 4, scène 7, JACINTE)
Il lui vient au cerveau de monter une bile... v.1370 (Acte 4, scène 9, FABRICE)
Je trouble l'entretien ; mais quel est ce beau fils ? v.1488 (Acte 5, scène 3, BÉATRIX)
Le beau doute ! Oui, vraiment. v.1491 (Acte 5, scène 3, JACINTE)
Oui, mais beaucoup meilleur que chez vous ; point de bruit, v.1504 (Acte 5, scène 3, FABRICE)
Le bourreau sans raison m'a presque estropié. v.1532 (Acte 5, scène 5, FABRICE)
Le bourreau ! Je vous vais compter toute l'affaire... v.1574 (Acte 5, scène 5, FABRICE)
Et d'une autre beauté je sais qu'il est épris, v.1588 (Acte 5, scène 5, DON JUAN)
Voici le prétendu beau-père. v.1606 (Acte 5, scène 5, FABRICE)
Qu'elle est belle ! Ah ! Monsieur, c'est un friand morceau. ! v.1627 (Acte 5, scène 8, FABRICE)
En l'état où je suis, rien ne me paraît beau. v.1628 (Acte 5, scène 8, DON ANDRÉ)
Parfois. Au demeurant, Monsieur, on a beau dire. v.1637 (Acte 5, scène 8, FABRICE)
Maître de vous, surtout... C'est là le beau. v.1643 (Acte 5, scène 8, FABRICE)
Ah, le beau naturel ! De l'humeur dont vous êtes, v.1645 (Acte 5, scène 8, FABRICE)
C'est ce qui ne doit pas m'embarrasser beaucoup, v.1671 (Acte 5, scène 8, DON ANDRÉ)

LE GALANT JARDINIER (1704)

C'est justement ce qui fait que je m'en défie ; cela ne connaît point le monde, cela meurt d'envie de faire connaissance ; et il n'y a point d'oiseaux si faciles à attraper que ceux qui sortent tout nouvellement de la cage. (Acte 1, scène 1, MONSIEUR DUBUISSON)
Beaucoup. (Acte 1, scène 2, MONSIEUR DUBUISSON)
Cela est vrai, il n'y a rien de positif : mais c'est déjà beaucoup que de soupçonner. (Acte 1, scène 2, LA MONTAGNE)
J'y trouve une jeune beauté, toute charmante, toute adorable. (Acte 1, scène 6, LÉANDRE)
Ne vous embarrassez de rien, je ruinerai votre rival dans l'esprit de monsieur Dubuisson ; je lui mettrai sur le corps toutes les sottises que vous faites... Présents, bijoux, cadeaux, sérénades ; j'ai pris mes mesures pour toutes choses : voilà de l'argent, laissez-moi faire, les mesures ne manqueront pas, sur ma parole. (Acte 1, scène 6, LA MONTAGNE)
Il ne faut pas demander si le chevalier que vous aimez a beaucoup de mérite. (Acte 1, scène 9, MARTHON)
Ce nouveau jardinier qui est ici depuis quelques jours... (Acte 1, scène 9, LUCILE)
Le beau dessein ! (Acte 1, scène 10, MONSIEUR DUBUISSON)
Mettre mon potager en parterre, le beau projet ! (Acte 1, scène 10, MONSIEUR DUBUISSON)
Il n'a pas tort, c'est une belle chose qu'un beau parterre. (Acte 1, scène 11, MONSIEUR CATON)
Ce ne sont que des cadeaux, des festins, des mascarades. (Acte 1, scène 19, MONSIEUR DUBUISSON)
Le beau remède contre ma migraine, qu'une cohue de masques et de violons ! (Acte 1, scène 22, MADAME DUBUISSON)
Petits oiseaux de ce bocage, v.8 (Acte 1, scène 22, LA PAYSANNE)
Voyez la propreté de ces corbeilles, la beauté de ces fleurs : encore faut-il bien que je me fasse un bouquet. (Acte 1, scène 22, MARTHON)
Celle-ci, beauté brillante, v.28 (Acte 1, scène 22, LA BOHÉMIENNE)
Madame, le beau livre ! (Acte 1, scène 22, MARTHON)
Et le plus beau de mon art ; v.37 (Acte 1, scène 22, LA BOHÉMIENNE)
Bourreau, tu as fait là de belles affaires. (Acte 1, scène 23, LA MONTAGNE)

LES CURIEUX DE COMPIÃˆGNE (1698)

Je le défie d'être aussi gueux que je le suis : je te parle confidemment ; je fais figure en apparence, toujours bonne table, beaucoup de vin, les hautbois du Régiment : force Bergères de Paris, quelques Provinciales, maintes Villageoises dansent les soirs devant ma tente ; je me donne ainsi le bal à peu de frais. (Acte 1, scène 2, LE CHEVALIER)
Nous vîmes avant-hier passer tous les équipages de l'armée ; il n'y a point d'Ambassadeur qui en ait un si beau. (Acte 1, scène 9, MADAME ROBIN)
Cela plaît, cela charme, cela ravit ; que cela est beau, que cela est grand, que cela est excellent, que cela est superbe ! (Acte 1, scène 9, MADAME ROBIN)
Nous avons beaucoup de sympathie ; il est bouffon, si bouffon dans la conversation ; moi, je suis si folle, si folle dans mes manières. (Acte 1, scène 9, MADAME ROBIN)
On va s'imaginer que j'en ai soixante : je ne vous mènerai jamais avec moi, votre père aura beau dire et beau faire. (Acte 1, scène 13, MADAME VALENTIN)
Elle me paraît si bonne personne et de si bon conseil ; je crois, pour moi, ma mère, qu'il y aurait beaucoup à profiter avec elle. (Acte 1, scène 14, ANGÉLIQUE)
Je le crois bien, vraiment : s'il n'y avait que votre père d'extravagant dans tout lez quartier, ce serait un beau miracle. (Acte 1, scène 15, MADAME VALENTIN)
J'étais avec trois Messieurs que vous connaissez, mon beau-frère le Miroitier, mon cousin le Bonnetier, et mon neveu le Notaire, tous bien vêtus, avec de grandes épées, et des plumes rouges même. (Acte 1, scène 15, MONSIEUR MOUFLARD)
Ce qui me chagrine le plus, c'est le cousin et le beau-frère, que j'ai persécutés pour faire le voyage, et qu'on a mis en chemise : leurs femmes ne me le pardonneront jamais. (Acte 1, scène 15, MONSIEUR MOUFLARD)
Cela a fait tout le contraire : quatre grands pendards de Soldats leur ont fait une querelle d'Allemand, sur ce qu'ils ont contrefait les habits uniformes du Régiment ; ils les ont dépouillés en un clin d'oeil, et on les a mis au Drapeau pour vingt-quatre heures. (Acte 1, scène 15, MONSIEUR MOUFLARD)
Le beau plaisir de faire vingt lieues pour se faire battre par des sentinelles ! (Acte 1, scène 17, MADAME VALENTIN)
Beautés, qui dans le champ de Mars, v.23 (Acte 1, scène 24, LE CHEVALIER)

NOUVEAU PROLOGUE, ET NOUVEAUX DIVERTISSEMENTS (1697)

Car il en fut beaucoup, à ce que j'entends dire. v.36 (Acte 1, scène 2, CRISPIN)
Vous avez de nouveaux Acteurs ? v.88 (Acte 1, scène 2, THALIE)
Oh ! Beaucoup, presque autant que de nouveaux Auteurs. v.89 (Acte 1, scène 2, CRISPIN)
Mais, dites-moi de grâce, à ces Acteurs nouveaux v.95 (Acte 1, scène 2, THALIE)
En voici deux nouveaux, c'est Ponteuil et Sallé. v.123 (Acte 1, scène 2, CRISPIN)
La nouveauté quelque fois réussit. v.162 (Acte 1, scène 3, THALIE)
Allons, Monsieur Sallé, du grand, du beau, du tendre, v.165 (Acte 1, scène 3, CRISPIN)
Il n'est rien de si beau. v.267 (Acte 2, scène 1, LA COMTESSE)
Le dessein est assez nouveau. v.269 (Acte 2, scène 1, OLIMPE)
Qu'ils nous vont de l'Amour faire un joli tableau. v.271 (Acte 2, scène 1, LA COMTESSE)
On me nomme partout des beautés la première, v.309 (Acte 2, scène 2, LA JEUNESSE)
J'ose attendre beaucoup d'un entretien si doux. v.364 (Acte 2, scène 3, LA COMTESSE)
La beauté de la Fête a passé mon attente. v.485 (Acte 3, scène 3, LA COMTESSE)
Pour des bohémiens, cet équipage est beau. v.520 (Acte 4, scène 1, LA COMTESSE)
On les a rencontrés qui venaient au Château. v.521 (Acte 4, scène 1, VIRGINE)
Cependant vous aurez beau à faire, v.567 (Acte 4, scène 1, LA MONTAGNE)
Dans vos beaux yeux, v.616 (Acte 4, scène 1, MADEMOISELLE DESMARRES)
Ma foi les beaux habits resteraient pour les gages. v.763 (Acte 6, scène 1, LE VICOMTE)
Qu'il ferait beau la voir rebondir en l'air ! v.786 (Acte 6, scène 1, LE VICOMTE)
De hasarder beaucoup, vous perdriez. v.788 (Acte 6, scène 1, LA COMTESSE)
Ça m'est beaucoup d'honneur, mais je suis en souci v.828 (Acte 6, scène 1, VIGNOLET)
Non, vous avez et beau faire et beau dire, v.866 (Acte 6, scène 1, LE VICOMTE)

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L'IMPROMPTU DE SURESNES (1713)

Le céleste flambeau v.8 (Acte 1, scène 1, THERSANDRE)
D'un feu nouveau s'allume, v.9 (Acte 1, scène 1, THERSANDRE)
Il nous promet un jour plus beau. v.11 (Acte 1, scène 1, THERSANDRE)
Sur les coteaux les raisins étaient verts ; v.14 (Acte 1, scène 1, PHILIS)
Est-ce pour vous une nouveauté, Seigneur Bacchus ? (Acte 2, scène 1, LA FOLIE)
Cela ne sera pas nouveau ; mais ces bienfaits-là ne seront que pour les Vignerons, et il faut que tout le monde se ressente ici de l'honneur de votre présence. (Acte 2, scène 1, LA FOLIE)
Qu'est-ce que c'est, mes enfants, qu'y a-t-il de nouveau ? (Acte 2, scène 3, NÉRINE)
Vous voilà dans les réflexions dans les grandes phrases, poussez-vous les beaux sentiments ? (Acte 2, scène 3, N?RINE)
Il y a un temps infini qu'on ne voit plus de Bourgeois ivres dans les rues, ni de petits Maîtres entre deux vins rendre hommage au beau sexe dans les bosquets des Tuileries. (Acte 2, scène 6, BACCHUS)
Beau jardon, cabinets de verdure, chambres, appartements proprement meublés ? (Acte 2, scène 6, BACCHUS)
Holà, ho, quelqu'un, du vin, de la glace, et de l'eau cordiale ! (Acte 2, scène 12, KERPINOT)
Je défère beaucoup à vos conseils. (Acte 2, scène 13, MADAME PINTERELLE)
Je vais aux Comédies, à l'Opéra ; maintes beautés toutes brillantes ; mais aux chandelles, cela m'est suspect. (Acte 2, scène 15, LE CHEVALIER)
Pour ma famille, je n'en parle pas : le soleil n'a que douze maisons, et nous avons trente châteaux que je parcours toute l'année. (Acte 2, scène 15, LE CHEVALIER)
Voilà une bonne chienne de pratique, les bords de l'eau sont pleins d'ivrognes, qui emportent des bouteilles, et qui boivent en chemin à la santé du maître-garçon. (Acte 2, scène 16, FORÊT)
L'Amour, Bacchus, et la Folie, le beau trio pour faire fortune ! (Acte 2, scène 17, FORÊT)
Dans les beaux jours v.64 (Acte 2, scène 20, PHILIS)
Dans les beaux jours v.72 (Acte 2, scène 20, PHILIS)
Vos plus beaux jours v.75 (Acte 2, scène 20, LA FOLIE)
Vos plus beaux jours v.83 (Acte 2, scène 20, LA FOLIE)
Qu'aucune Beauté n'y vienne v.125 (Acte 2, scène 20, L'AMOUR)

RENAUD ET ARMIDE (1692)

Quels nouveaux transports de joie et d'amitié sont-ce là ? (Acte 1, scène 4, LISETTE)
Ce sont de fort jolis oiseaux à tenir en cage, au moins : il n'y a qu'une petite difficulté qui nous embarrasse nous autres. (Acte 1, scène 9, LISETTE)
Qu'il faut donner ses plus beaux jours. v.6 (Acte 1, scène 9, MADAME JAQUINET)
Voilà un beau contretemps de sympathie ! (Acte 1, scène 12, LOLIVE)
Un Opéra, bourreau ! (Acte 1, scène 17, MONSIEUR FILASSIER)

LE CHEVALIER Ã€ LA MODE (1687)

Votre Beau-frère ! (Acte 1, scène 3, LISETTE)
Mon beau-frère ! (Acte 1, scène 3, MADAME-PATIN)
Mon beau-frère ! (Acte 1, scène 3, MADAME PATIN)
Pardonnez-moi, Madame, J'ai cru qu'il était votre Beau-frère, parce qu'il était frère de feu Monsieur votre Mari. (Acte 1, scène 3, LISETTE)
Il n'est que votre beau-frère, et elle n'est que votre belle-soeur, une fois. (Acte 1, scène 3, LISETTE)
C'est un beau nom que celui de Madame Migaud ! (Acte 1, scène 3, MADAME-PATIN)
Te voilà plus parée que de coutume, et toujours plus belle que tout ce que j'ai vu de plus beau. (Acte 1, scène 6, LE-CHEVALIER)
Mais, qui te fait tes manteaux ? (Acte 1, scène 6, LE-CHEVALIER)
Hé, Monsieur, c'est par exemple, un fort beau carrosse qu'elle a fait mettre sous une de vos remises, deux gros chevaux dans votre écurie, un cocher et un gros barbet qui ont amené tout cela, et que je vais renvoyer, puisque vous le voulez. (Acte 1, scène 7, CRISPIN)
Le carrosse est beau ? (Acte 1, scène 7, LE-CHEVALIER)
Il est des plus beaux qui se portent. (Acte 1, scène 7, CRISPIN)
Je vous demande pardon, Madame, c'est un nouveau carrosse que je me donne. (Acte 1, scène 8, LE-CHEVALIER)
Le beau régal pour une femme ! (Acte 1, scène 9, LISETTE)
Vous devriez, Monsieur Serrefort, ne me point reprocher des choses où je ne me suis exposée que parce qu'on me croit votre belle-soeur ; mais, voilà qui est fait, Monsieur Serrefort, je ferai afficher que je ne la suis plus depuis mon veuvage, je vous renonce pour mon beau-frère, Monsieur Serrefort ; et puisque jusqu'ici mes dépenses, la noblesse de mes manières, et tout ce que je fais tous les jours, n'ont pu me corriger du défaut d'avoir été la femme d'un partisan, je prétends... (Acte 2, scène 2, MADAME-PATIN)
Le Chiffre doit être fort beau, l'N et l'U, font un assemblage fort agréable. (Acte 2, scène 7, MADAME-PATIN)
S'il fallait de nouveaux vers pour toutes celles à qui l'on écrit... (Acte 2, scène 10, LE-CHEVALIER)
Il y en a même, je crois, beaucoup d'oubliées ; mais, ce ne sont point mes Maîtresses ; et puisque Monsieur Crispin s'est diverti à mes dépens, et que cette liste vous irrite si fort contre moi, je prétends que ce soit lui qui me justifie... (Acte 3, scène 4, LE-CHEVALIER)
Hé fi, Madame, il ne la va jamais voir qu'en sortant de chez Rousseau. (Acte 3, scène 4, CRISPIN)
Le plaisant, Madame, est que quatre ou cinq godelureaux se sont fait honneur de mes vers. (Acte 4, scène 2, LE-CHEVALIER)
J'ai passé aux Tuileries, où j'ai rencontré cinq ou six beaux esprits. (Acte 4, scène 2, LE-CHEVALIER)
Nous vivons dans un siècle où les beaux esprits sont tout à fait communs au moins. (Acte 4, scène 2, LE CHEVALIER)
Ce sont de bons sots, Monsieur, que vos beaux esprits, de plaisanter de cette aventure-là. (Acte 4, scène 2, MADAME-PATIN)
Non, non, Chevalier, laissez-le en repos, le pauvre homme ne sera que trop malheureux de ne me point avoir ; mais je vous avoue qu'il m'aurait, si j'avais trouvé mon beau-frère chez lui ; heureusement il n'y était pas. (Acte 4, scène 2, MADAME-PATIN)
C'est donc elle qui a donné à ma fille la connaissance d'un petit godelureau que j'ai trouvé chez moi un moment avant que tu ne vinsses. (Acte 5, scène 1, MONSIEUR-SERREFORT)
Le beau joyau pour en être si fort éprise ! (Acte 5, scène 2, LISETTE)
Mais encore, qu'y a-t-il de nouveau ? (Acte 5, scène 5, MADAME-PATIN)

LA FOLLE ENCHÃˆRE (1690)

Tout l'équipage est au logis : va-t-en, bourreau, et me laisse ici. (Acte 1, scène 1, MERLIN)
Ne trouvez-vous point que j'aurais besoin d'un petit chapeau. (Acte 1, scène 3, MERLIN)
Elle est vieillotte et très coquette : un jeune garçon, ou qui paraît l'être, du moins, tout des plus beaux et des mieux faits, s'attache à lui en conter ; elle serait bien ennemie d'elle-même, si elle ne le croyait pas. (Acte 1, scène 4, LISETTE)
Comment donc, Madame, qu'y a-t-il de nouveau ? (Acte 1, scène 5, LISETTE)
Tout ce qui m'inquiète, c'est que ce petit Comte est bien joli homme ; et les jolis gens aujourd'hui sont rarement sans beaucoup d'intrigues. (Acte 1, scène 5, MADAME-ARGANTE)
Arrivée depuis trois mois seulement de la Province la plus reculée, je n'ai commencé à briller dans le beau monde que sous ce déguisement ; et de l'air dont je fais le jeune homme, je donne aux yeux les plus pénétrants à démêler que je ne le suis pas. (Acte 1, scène 8, ANGÉLIQUE)
Le beau compliment à lui faire ! (Acte 1, scène 10, LISETTE)
Le beau brin de femme ! (Acte 1, scène 13, MERLIN)
Morbleu, le beau brin de femme ! (Acte 1, scène 13, MERLIN)
Où ce petit fripon-là déterre-t-il les beautés ! (Acte 1, scène 13, MERLIN)
Lisette est beaucoup dans mes intérêts. (Acte 1, scène 16, ANGÉLIQUE)
Il semble que ce soit ici le bureau d'adresse. (Acte 1, scène 17, LISETTE)
Votre père et mon neveu le Chevalier Jumeau, nous attendent. (Acte 1, scène 18, CHAMPAGNE)
Ne donnerai-je pas à mon neveu le meilleur et le plus beau de mon bien en faveur de ce mariage ? (Acte 1, scène 18, CHAMPAGNE)
Mais que vois-je, serait-ce là le beau-père que vous me destinez ? (Acte 1, scène 20, ÉRASTE)
Et vous auriez la bonté d'agréer que dans le Contrat, Madame votre mère vous fît une donation de son bien comme à son beau-frère. (Acte 1, scène 20, LISETTE)
Vous n'êtes pas encore où vous pensez ; je l'aurai mort ou vif, et le Chevalier Jumeau mon neveu n'est pas homme à souffrir qu'on fasse un affront de la sorte à sa tante de la Tribaudière. (Acte 1, scène 22, CHAMPAGNE)
C'est encore un petit charme ; elle lui ressemble comme deux gouttes d'eau. (Acte 1, scène 24, MERLIN)

LE RETOUR DES OFFICIERS (1697)

Hé, morgué, vous le disiez vous-même tout à l'heure encore, et si pourtant vous ne laissez pas de ly bailler toujours des cadeaux, des festins, de la musique. (Acte 1, scène 1, MATURIN)
Moi, je suis toute malade ; et je voudrais que le diable vous eût emporté, vous et votre Monsieur Rapineau, avec sa chienne de musique : cet animal-là nous assassine tous les soirs de grands repas, on en a des indigestions toute la nuit ; et quand on a commencé à s'endormir, il vous envoie des réveille-matin aussi désagréables? (Acte 1, scène 3, TOINETTE)
Qu'est-il arrivé de nouveau ? (Acte 1, scène 4, TOINETTE)
Ce vilain Monsieur Rapineau, qui nous a voulu suivre malgré nous en ce pays-ci, sous prétexte de ses affaires. (Acte 1, scène 4, HENRIETTE)
Je le regardais, moi, comme un homme sans conséquence, un oiseau de passage, que l'hiver chasserait avec les hirondelles. (Acte 1, scène 4, TOINETTE)
Non, c'est Monsieur des Baliveaux. (Acte 1, scène 5, ISABELLE)
Monsieur des Baliveaux, le frère de cet imbécile d'abbé, Madame ? (Acte 1, scène 5, TOINETTE)
Pour cela vous êtes furieusement fille, il n'y a point de nouveauté qui ne vous fasse plaisir. (Acte 1, scène 5, TOINETTE)
Cela ne vous a pas empêchée de vous bien réjouir pendant tout l'Été, et de faire bonne chère quand nous allions à Ivry avec Monsieur Rapineau, et que Robert apprêtait le souper à la maison de ce libraire. (Acte 1, scène 5, TOINETTE)
Ce pauvre diable de Monsieur Rapineau ! (Acte 1, scène 5, TOINETTE)
Parce que nous le vîmes une heure de moins, et qu'il était dans l'eau jusqu'au cou. (Acte 1, scène 5, ISABELLE)
Je voudrais qu'il en eût aujourd'hui quatre pieds par-dessus la tête, le bourreau qu'il est. (Acte 1, scène 5, HENRIETTE)
Oh çà, ma fille, je vous ai expliqué les sentiments où je suis pour Monsieur Rapineau, vous prendrez votre parti là-dessus, s'il vous plaît. (Acte 1, scène 6, MADAME THOMAS)
Et pour vous, ma nièce, je vous destine à Monsieur des Baliveaux. (Acte 1, scène 6, MADAME THOMAS)
À Monsieur des Baliveaux, ma tante ! (Acte 1, scène 6, ISABELLE)
Moi, j'épouserais Monsieur Rapineau ? (Acte 1, scène 7, HENRIETTE)
Je serais femme de Monsieur des Baliveaux ? (Acte 1, scène 7, ISABELLE)
Monsieur des Baliveaux est un Conseiller ridicule, il sera très impertinent capitaine. (Acte 1, scène 7, TOINETTE)
Sont-ils beaucoup en nombre ? (Acte 1, scène 8, CLITANDRE)
C'est votre rival, Monsieur des Baliveaux. (Acte 1, scène 9, TOINETTE)
Monsieur l'Abbé des Baliveaux en robe longue ! (Acte 1, scène 11, TOINETTE)
Mais l'amour me débauche, je quitte tout pour les beaux yeux de Mademoiselle Isabelle. (Acte 1, scène 11, DES BALIVEAUX)
Ma foi, Monsieur des Baliveaux, vous vous y prenez mal pour l'obtenir. (Acte 1, scène 11, TOINETTE)
Vous êtes né coiffé, Monsieur des Baliveaux. (Acte 1, scène 12, TOINETTE)
Allons, venez, mon cher Monsieur des Baliveaux, dépêchons ; je grille de vous obliger par-devant notaire. (Acte 1, scène 12, CLITANDRE)
Votre nouvelle condition n'a pas beaucoup duré, monsieur Maturin. (Acte 1, scène 13, TOINETTE)
Je l'ai mis aux prises avec le Seigneur des Baliveaux. (Acte 1, scène 14, TOINETTE)
Président d'où il vous plaira, j'ai donné ma parole à Monsieur Rapineau, je la lui tiendrai en dépit de tout le monde ; et à Monsieur des Baliveaux aussi, ma nièce : entendez-vous ? (Acte 1, scène 15, MADAME THOMAS)
Comment, c'est Monsieur des Baliveaux ? (Acte 1, scène 16, MADAME THOMAS)
Fort bien, Monsieur des Baliveaux. (Acte 1, scène 16, TOINETTE)
Je vous demande pardon, ma tante, mon coeur est pour Monsieur des Baliveaux. (Acte 1, scène 17, ISABELLE)
Vous nous ferez honneur, Monsieur des Baliveaux. (Acte 1, scène 17, CLITANDRE)
Voici Monsieur Rapineau le plus à propos du monde, c'est le mari que je destine à ma fille. (Acte 1, scène 17, MADAME THOMAS)
Monsieur Rapineau ? (Acte 1, scène 17, CLITANDRE)
Nous vous sommes obligés, Monsieur Rapineau, de songer ainsi à nous désennuyer dans la Province ; et l'on reconnaîtra tous ces petits soins. (Acte 1, scène 18, MADAME THOMAS)
Quand cela sera fait, que je vous parle, Monsieur Rapineau, j'ai quelque petit compliment à vous faire. (Acte 1, scène 18, CLITANDRE)
Ah, le bourreau ! (Acte 1, scène 19, MONSIEUR RAPINEAU)
Votre Monsieur Rapineau, Madame. (Acte 1, scène 19, MATURIN)
Tu es parent de Monsieur Rapineau ? (Acte 1, scène 19, MADAME THOMAS)
Monsieur Rapineau ? (Acte 1, scène 19, MADAME THOMAS)
Cadedis, tirez, Monsieur Rapineau, tirez. (Acte 1, scène 19, CLITANDRE)
Des Baliveaux. v.16 (Acte 1, scène 20, MONSIEUR TOUVENEL, FLAMAND)
Salamalec à ce nouveau Pompée. v.18 (Acte 1, scène 20, MONSIEUR TOUVENEL, FLAMAND)
Salamalec à ce nouveau Pompée. v.19 (Acte 1, scène 20, LE CHOEUR)

LA FÃŠTE DE VILLAGE. (1700)

Je m'en vas vous attendre ; aussi bien velà Monsieur Blandineau, qui, m'est avis, veut vous dire queuque chose. (Acte 1, scène 1, LE TABELLION)
C'est un voeu que j'ai fait, Monsieur Blandineau, de rendre une femme raisonnable, et plus je la prendrai folle, plus j'aurai du mérite à réussir. (Acte 1, scène 2, NAQUART)
Ma femme n'est pas à beaucoup près si extravagante que sa soeur, et toutes les tentatives que j'ai faites pour régler son esprit et ses manières, n'ont jusqu'à présent servi de rien ; je serai réduit, je pense, pour éviter les altercations que nous avons tous les jours ensemble, à prendre le parti d'extravaguer avec elle, puisqu'il n'y a pas moyen qu'elle soit raisonnable avec moi. (Acte 1, scène 2, MONSIEUR BLANDINEAU)
Autrefois, Monsieur Blandineau, on se gouvernait comme autrefois. (Acte 1, scène 2, NAQUART)
Je suis ennemi des superfluités, je me contente du nécessaire, et je ne sache rien au monde de si beau, que la simplicité du temps passé. (Acte 1, scène 2, MONSIEUR BLANDINEAU)
Oui, mais si comme au temps passé on vous donnait trois sols parisis, ou deux carolus pour des écritures que vous faites aujourd'hui payer trois ou quatre pistoles, cette simplicité-là vous plairait-elle, Monsieur Blandineau ? (Acte 1, scène 2, NAQUART)
Il faut régler les unes par les autres, Monsieur Blandineau, à la sotte vanité près. (Acte 1, scène 2, NAQUART)
Fille d'un Huissier qui était le père de ma femme, ma belle-soeur à moi, qui ne suis que Procureur au Châtelet, veuve d'un Greffier à la Peau, que vous avez fait mourir de chagrin. (Acte 1, scène 3, MONSIEUR BLANDINEAU)
Celle à réseau ou celle à frange ? (Acte 1, scène 5, LISETTE)
Vous voilà, Monsieur Blandineau, je suis bien aise de vous trouver icI. Donnez-moi de l'argent, je n'en ai plus. (Acte 1, scène 5, MADAME BLANDINEAU)
Hé fi donc, Monsieur Blandineau, que de façons. (Acte 1, scène 5, MADAME BLANDINEAU)
Hé, pourquoi jouer, Madame Blandineau ? (Acte 1, scène 5, MONSIEUR BLANDINEAU)
Madame Blandineau, vous me pousserez à des extrémités? (Acte 1, scène 5, MONSIEUR BLANDINEAU)
Monsieur Blandineau, vous me ferez faire des choses? (Acte 1, scène 5, MADAME BLANDINEAU)
Je vous défie, Madame Blandineau de faire pis que vous faites. (Acte 1, scène 5, MONSIEUR BLANDINEAU)
Que vous avez l'âme crasse, Monsieur Blandineau ! (Acte 1, scène 5, MADAME BLANDINEAU)
Votre queue, Madame Blandineau ! (Acte 1, scène 6, MONSIEUR BLANDINEAU)
Oui, Monsieur Blandineau, moi-même, puisque j'ai eu la complaisance de prendre une queue toute unie, je me la ferai porter, s'il vous plaît, pour ne pas figurer avec la populace. (Acte 1, scène 6, MADAME BLANDINEAU)
Mais, Madame Blandineau, songez? (Acte 1, scène 6, MONSIEUR BLANDINEAU)
Ce Monsieur Blandineau, il est à plaindre. (Acte 1, scène 7, LISETTE)
Madame Blandineau, pour pester contre son mari, le mari pour se plaindre de sa femme : Madame la Greffière, pour m'entretenir de son ajustement et de sas charmes : et vous, pour parler de votre amant. (Acte 1, scène 8, LISETTE)
Quelques jours avant notre départ, il te souvient que nous le vîmes dans ta chambre ; il s'y rendit une heure plus tard que de coutume, il y demeura beaucoup moins, il était chagrin, inquiet, interdit, embarrassé : il commençait à ne me plus aimer, Lisette, et l'absence l'a fait m'oublier tout à fait. (Acte 1, scène 8, ANGÉLIQUE)
Justement, et c'en est assez pour faire déserter un joli homme ; outre que Madame Blandineau, de son côté, qui ne veut point vous voir plus grande Dame qu'elle, a fait aussi ce qu'elle a pu, pour l'éloigner à force de brusqueries : c'est ce qui l'a rebuté sur ma parole. (Acte 1, scène 8, LISETTE)
Voilà de beaux projets ! (Acte 2, scène 2, LISETTE)
Mais le plaisir de faire enrager de près mon beau-frère le Procureur, qui est un fort impertinent personnage, la joie que j'aurai d'être témoin du dépit de ma soeur et de ma nièce, et de jouir par mes propres yeux du désespoir de toutes les femmes de ma connaissances, nous a fait prendre la résolution de faire ce mariage à leurs barbes. (Acte 2, scène 2, LA GREFFIÈRE)
Dites, Madame, Madame Blandineau, et Madame tout court, entendez-vous ? (Acte 2, scène 3, LA GREFFIÈRE)
Vous voulez le porter plus beau que moi, parce que vous êtes mon aînée, ç'a toujours été votre fureur : mais je me séparerais d'avec mon mari, s'il fallait avoir ce déboire-là. (Acte 2, scène 3, MADAME BLANDINEAU)
Bonjour, ma chère Madame Blandineau. (Acte 2, scène 4, MADAME CARMIN)
On est maître absolu dans le pays, premièrement : il n'y a, je crois, dans toute la Juridiction, ni Procureurs, ni Avocats, ni Conseillers même, et Monsieur le Président peut se vanter qu'il est lui seul toute la Justice ; cela est fort beau, Mesdames. (Acte 2, scène 4, MADAME CARMIN)
Oui, cela est fort beau de voir Monsieur Carmin juger tout seul, lui qui ne sait ni latin, ni Pratique, ni lire, ni écrire, peut-être. (Acte 2, scène 4, MADAME BLANDINEAU)
Oh, je vous demande pardon, Madame Blandineau, il signera son nom fort librement, et avec un paraphe, encore, à cause de sa Charge. (Acte 2, scène 4, MADAME CARMIN)
Adieu, ma chère Madame Blandineau ; à mon retour nous ferons ensemble quelque partie de plaisir. (Acte 2, scène 4, MADAME CARMIN)
Je n'y puis plus tenir, je suis au désespoir ; Monsieur Blandineau en achètera une qui m'ennoblisse, ou je ne le veux voir de ma vie. (Acte 2, scène 4, MADAME BLANDINEAU)
C'est mon beau-frère à qui j'en veux le plus. (Acte 2, scène 5, LA GREFFIÈRE)
Que c'est un animal bien persécutant qu'un beau-frère, Monsieur Blandineau ! (Acte 2, scène 6, LA GREFFIÈRE)
Mais, mon beau-frère, ne m'en parlez pas davantage. (Acte 2, scène 6, LA GREFFIÈRE)
Écoutez, ne vous avisez pas de me manquer de respect devant lui, Monsieur Blandineau. (Acte 2, scène 7, LA GREFFIÈRE)
Elles deviendront sages ; et si vous voulez m'en croire, nous jouirons de notre bien, Monsieur Blandineau, et nous leur remettrons aisément l'esprit, en nous accommodant pour quelque temps du moins, à leur ridicule et à leurs faiblesses, que nous corrigerons tout à fait dans la suite. (Acte 2, scène 9, NAQUART)
Monsieur Blandineau vend sa Charge, et il donne quarante mille francs de la Baronnie de Boîtortu ; je ne suis plus Madame Blandineau, je suis la Baronne de Boîtortu à l'heure que je vous parle. (Acte 3, scène 8, MADAME BLANDINEAU)
Vous risquez beaucoup, vraiment. (Acte 3, scène 10, LA GREFFIÈRE)
Oh, vous ne me posséderez point, Monsieur Naquart ; Vous avez beau faire, vous ne me posséderez point, je vous en réponds. (Acte 3, scène 10, LA GREFFIÈRE)
Le beau destin ! v.5 (Acte 4, scène 1, PREMIÈRE PAYSANNE)
Parure, attrait, gloire et beauté, v.31 (Acte 4, scène 1, PREMIÈRE PAYSANNE)

LA COMÃ‰DIE DES COMÃ‰DIENS (1710)

Jeune et bien fait comme est Léandre, avec de l'esprit et des talents, il se fera connaître et estimer peut-être ; il passera du moins ses plus beaux jours dans les plaisirs, et s'approchera des personnes les plus distinguées, dont la naissance et la fortune semblaient pour toujours l'éloigner. (Acte 1, scène 1, MARTON)
N'y aurait-il point aussi quelqu'une de vos Demoiselles charmée des beaux yeux de Monsieur Grichardin ? (Acte 1, scène 2, MARTON)
Oui, vraiment, demandez plutôt à Madame ; c'est une espèce de maladie qui court beaucoup dans ces temps-ci parmi les jeunes filles. (Acte 1, scène 3, MARTON)
Beaucoup de plaisir quand il est ici. (Acte 1, scène 3, MARTON)
Je l'approuve fort aussi : mais il y en a beaucoup qui font ce que Monsieur souhaite. (Acte 1, scène 5, LUCILE)
C'est un mal contagieux qui court beaucoup parmi nous autres, et qui en fait crever quantité même. (Acte 2, scène 9, MEZZETIN)
Elles ont raison, le beau plaisir de passer toute une journée avec un malade ! (Acte 2, scène 9, ISABELLE)
Voilà un beau secret, mon oncle. (Acte 2, scène 9, ISABELLE)
Le beau jeune homme, et que la science, contre sa coutume, est logée dans un joli appartement. (Acte 2, scène 11, MEZZETIN)
Je sais faire l'impossible, accorder l'amour et la haine, l'antipathie et la sympathie, le mouvement et le repos, le tort et la raison, le mal et le bien, le chaud et le froid, le vert et le sec, le noir et le blanc, le oui et le non, le beaucoup et le peu, le tout et le rien, le vrai et le faux. (Acte 2, scène 11, ANGÉLIQUE)
Pourquoi la beauté passe-t-elle v.60 (Acte 2, scène 12, UNE DAME GIGOGNE)
Cela serait beau, que Jupiter désertât ainsi l'Olympe, et demeurât toujours sur la terre ; passe encore d'y venir promener quelquefois de temps à autre, quand il se rencontre par hasard quelque aimable mortelle qui en vaut la peine, et dont les faveurs peuvent dédommager des frais du voyage. (Acte 3, scène 1, MOMUS)
Le beau naturel ! (Acte 3, scène 2, MOMUS)
Tu ne m'as rien expliqué, bourreau. (Acte 3, scène 4, LE DOCTEUR)
Ils sont divins, s'ils égalent les vôtres ; et je ne conçois pas, pour moi, que personne dans le monde puisse disputer avec vous, ni de l'agrément, ni de la beauté. (Acte 3, scène 9, L'AMOUR)
Il serait beau que le confident ne se sentît pas des talents du maître. (Acte 3, scène 12, MERCURE)
Qu'est-ce qu'il y a de nouveau ? (Acte 3, scène 17, LE DOCTEUR)
Tout nouveau débarqué, me saisit au collet, v.285 (Acte 4, scène 4, LE CHEVALIER)

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L'OPÃ‰RA DE VILLAGE (1693)

Notre nouveau Seigneur arrive aujourd'hui ; Hé morgué, que la petite réjouissance que je l'y voulons bailler, serve aux fiançailles de ma cousine Louison, avec ce grand Nicodème de Piarrot. (Acte 1, scène 1, COLIN)
C'est une des raisons qui nous ont fait demeurer ici, Monsieur Bouvillon et moi, et nous nous promettons beaucoup d'une petite espèce de fête qu'on dit que vous lui préparez. (Acte 1, scène 2, GALOCHE)
Depuis cinquante ans je sommes les Farmiers du Château, de père en fils : c'est à nous de faire les honneurs de la fête. (Acte 1, scène 2, THIBAUT)
Il sait ce qu'il en coûte pour se mal adresser, et chat échaudé, craint l'eau froide. (Acte 1, scène 4, LA FLÈCHE)
Tatigué que c'est un beau brin d'homme. (Acte 1, scène 6, THIBAUT)
Je ne m'en souviens pas tout à fait, mon père, je sais seulement que j'ai rêvé des choses qui m'ont fait beaucoup plaisir. (Acte 1, scène 7, LOUISON)
On a beau dire, il y a toujours morgué du vrai dans les songes. (Acte 1, scène 7, THIBAUT)
Je lui ai dit de demeurer au bout de a grande allée du Château, à côté du petit bois : voyez si vous voulez lui venir parler, et consentir qu'il vous emmène avec lui dans sa chaise de poste ? (Acte 1, scène 8, LA FLÈCHE)
Ils viennent tous d'entrer au Château, où ils disent que vous alliez les trouver, pour leur donner ce petit divertissement que vous avez préparé. (Acte 1, scène 16, MARTINE)

DIVERTISSEMENT DE SCEAUX (1705)

Le cristal des eaux, la fraîcheur des herbes, v.6 (Acte 1, scène 1, MADEMOISELLE SALLE)
D'y voir les beautés qu'on admire ? v.13 (Acte 1, scène 1, MONSIEUR SALLE)
Quels sont les beaux lieux où nous sommes, v.15 (Acte 1, scène 1, MADEMOISELLE SALLE)
Cet aimable coteau parmi nous tient sa place, v.40 (Acte 1, scène 1, MADEMOISELLE SALLE)
Vaut tout l'eau d'Hypocrène. v.43 (Acte 1, scène 1, MADEMOISELLE SALLE)
Sur ces coteaux il réside ; v.46 (Acte 1, scène 1, LE DRUIDE)
Cède à ses beaux lieux ; v.63 (Acte 1, scène 1, MADEMOISELLE SALLE)

SANCHO PANÇA, GOUVERNEUR (1712)

Et prêt à m'engager à de nouveaux efforts, v.7 (Acte 1, scène 1, DON QUICHOT)
Dame de mes désirs, sa première beauté? v.12 (Acte 1, scène 1, DON QUICHOT)
Que je le méritais beaucoup mieux qu'on ne pense. v.146 (Acte 1, scène 3, SANCHO)
Qui me mette au niveau de qui me l'aura fait. v.172 (Acte 1, scène 4, SANCHO)
Mettons, tant bien que mal, beaucoup d'argent à part : v.192 (Acte 1, scène 5, SANCHO)
Le cerveau de manière à n'être point berné. v.216 (Acte 1, scène 8, LE DUC)
Au nouveau Gouverneur noble comme le Roi. v.263 (Acte 1, scène 10, FEDERIC)
De Monseigneur le Duc c'est ici le Château. v.271 (Acte 1, scène 10, SANCHO)
Dont je fais le Palais du Gouverneur nouveau. v.272 (Acte 1, scène 10, LE DUC)
Ici, dans un château fait comme une taverne, v.301 (Acte 1, scène 10, SANCHO)
C'est un de vos droits les plus beaux. v.323 (Acte 1, scène 11, LA DUCHESSE)
Qui dans certain Château qui vous parut taverne? v.385 (Acte 1, scène 12, CARISAL)
Vous m'obligez beaucoup. v.449 (Acte 2, scène 1, SANCHO)
Tu gardais les pourceaux de tout le voisinage. v.470 (Acte 2, scène 1, DON QUICHOT)
Et si ta femme meurt, et que ton nouveau rang v.479 (Acte 2, scène 1, DON QUICHOT)
Joins à ce beau modèle v.545 (Acte 2, scène 1, DON QUICHOT)
Ce beau Gouvernement où me voilà placé, v.560 (Acte 2, scène 1, SANCHO)
Que pour dîner beaucoup et souper davantage. v.562 (Acte 2, scène 1, SANCHO)
Le temps découvre tout. À beau jeu beau retour, v.603 (Acte 2, scène 1, SANCHO)
Qui frappe du couteau doit mourir de la gaine ; v.610 (Acte 2, scène 1, SANCHO)
Étant allé mener nos pourceaux dans nos bois, v.660 (Acte 2, scène 3, PERALTE)
Qu'on peut bien appeler la perle du hameau : v.663 (Acte 2, scène 3, PERALTE)
Depuis pour l'amour d'elle il pleure comme un veau : v.664 (Acte 2, scène 3, PERALTE)
C'est peu pour mériter une telle beauté. v.667 (Acte 2, scène 3, PERALTE)
Le beau brin de femelle ! Ah, la triste aventure ! v.689 (Acte 2, scène 3, PERALTE)
Pour aider à mon fils dans son nouveau ménage. v.701 (Acte 2, scène 3, PERALTE)
Moi, Gouverneur nouveau, je n'ai ni croix ni pile. v.714 (Acte 2, scène 3, SANCHO)
Qui regorgent de biens beaucoup plus que d'honneurs : v.736 (Acte 2, scène 3, SANCHO)
C'est un panneau qu'on vient me tendre. v.818 (Acte 2, scène 8, SANCHO)
Vous avez beau rêver, Monseigneur Don Guichot ; v.819 (Acte 2, scène 8, SANCHO)
Que savant dans le droit beaucoup plus qu'Ulpian, v.884 (Acte 3, scène 1, LE DOCTEUR)
Beaucoup plus que la vie et les biens que je perds? v.1039 (Acte 3, scène 4, MADAME RODRIGUE)
L'amour vif à contraindre est beaucoup difficile. v.1056 (Acte 3, scène 4, MADAME RODRIGUE)
Et depuis quelques jours une tendre beauté, v.1087 (Acte 3, scène 4, DON CARLOS)
Pour ne pas épouser une vieille beauté, v.1114 (Acte 3, scène 4, SANCHO)
Sachant que vous étiez un nouveau Gouverneur, v.1158 (Acte 3, scène 6, L'ÉTRANGER)
Cent milles, c'est beaucoup. v.1200 (Acte 3, scène 6, SANCHO)
Commandez qu'on apporte ici sur deux tonneaux, v.1268 (Acte 4, scène 1, SANCHO)
Encore est-ce. Approchez cet oiseau de rivière. v.1385 (Acte 4, scène 3, SANCHO)
L'oiseau de rivière est un aliment très lourd. v.1392 (Acte 4, scène 3, LE DOCTEUR)
C'est un oiseau grossier, rempli d'humeur peccante v.1434 (Acte 4, scène 3, LE DOCTEUR)
C'est de tous les oiseaux le plus mélancolique, v.1437 (Acte 4, scène 3, LE DOCTEUR)
Après quoi vous boirez deux grands verres d'eau claire. v.1445 (Acte 4, scène 3, LE DOCTEUR)
De Tirtea Fuera, château, village, ou terre v.1454 (Acte 4, scène 3, LE DOCTEUR)
De Tirtea Fuera, château, village, ou terre v.1458 (Acte 4, scène 3, SANCHO)
Si le moineau la gobe, ou quelque sansonnet, v.1654 (Acte 5, scène 6, SANCHO)
Dont pourtant l'exercice est beau, mais dangereux. v.1714 (Acte 5, scène 10, SANCHO)
C'est à vous d'y pourvoir d'un nouveau Gouverneur, v.1762 (Acte 5, scène 12, LE DUC)
Douze cornets d'oublies et deux verres d'eau claire, v.1768 (Acte 5, scène 12, SANCHO)
Dans le nouveau Gouvernement v.1845 (Acte 5, scène 15, SANCHO)
Mais dans les airs quel bruit nouveau v.1876 (Acte 5, scène 16, ARCHELAÜS)
C'est elle justement qu'au pied de ce coteau v.1878 (Acte 5, scène 16, ARCHELA?S)
Vivant soleil de beauté, v.1886 (Acte 5, scène 16, DON QUICHOT)
Qu'il est glorieux, qu'il est beau v.1946 (Acte 5, scène 17, ARCHELAÜS)
De son beau Gouvernement. v.1957 (Acte 5, scène 17, DULCINEE)
Dans le nouveau Gouvernement v.1976 (Acte 5, scène 17, SANCHO)
Ayant au doigt un anneau, v.1996 (Acte 5, scène 17, ARCHELAÜS)
Elle ne boive point d'eau, v.2000 (Acte 5, scène 17, PERALTE)
Du plus excellent chaudeau v.2004 (Acte 5, scène 17, ARCHELAÜS)
Par enchantement nouveau, v.2008 (Acte 5, scène 17, SANCHO)

LE CHARIVARI (1697)

Tenez, la Fleur, ôtez mon manteau, et allez m'attendre au Dauphin avec vos camarades. (Acte 1, scène 1, ÉRASTE)
Voilà une vraie physionomie de nouveau marié, ne serait-ce point celui dont nous venons honorer la noce ? (Acte 1, scène 6, LOLIVE)
Cela ne fait rien, c'est moi qui suis le bon ami du cousin de la nièce de ce Curé, qui est parent du beau-frère de ce neveu, dont la tante avait un fils qui était ami de la marraine... là... (Acte 1, scène 6, LOLIVE)
Oui, je comprends que vous avez beaucoup perdu à la mort de cette marraine-là. (Acte 1, scène 6, LOLIVE)
Voilà mon beau-frère. (Acte 1, scène 10, MADAME LORICART)
Je ne saurais que te dire, le beau-frère, la fille, la nièce, je n'aime point du tout cette parenté-là. (Acte 1, scène 11, MADAME LORICART)
Que mon beau-frère surtout... (Acte 1, scène 11, MADAME LORICART)
Je vais rejoindre mon beau frère, si tu vois Thibaut, envoie-le moi, j'ai quelque chose à lui dire. (Acte 1, scène 12, MADAME LORICART)
Il n'en sera pargué rian, vous dis-je : je sais bian ce qui en arriverait, je sis brutal, je me connais, je n'aime pas les gausseries, je casserais la tête à queuqu'un, qui en trépasserait, la Justice s'en voudrait mêler, et puis crac, vela le marié branché ; le beau commencement de noce ! (Acte 1, scène 14, THIBAUT)
On a beau jurer, pester, v.53 (Acte 1, scène 22, LE TABELLION)

LE VERT-GALANT (1699)

Mais quelle mouche vous a passé de nouveau devant les yeux ? (Acte 1, scène 7, JÉRÔME)
Beaucoup de liberté, de caresses... modestes, s'entend. (Acte 1, scène 10, JÉRÔME)
Apportez un des bonnets de votre oncle, Mademoiselle Javotte, le plus beau, le plus propre ; c'est pour Monsieur. (Acte 1, scène 12, MADAME JÉRÔME)
Ce faisan-là coûte douze francs, les deux perdrix neuf livres dix sols, et treize francs l'oiseau de rivière et la bécasse. (Acte 1, scène 13, TARIF)
Il n'y a point d'imagination, cela est réel, il est du plus beau vert... (Acte 1, scène 23, JÉRÔME)
Oui, mais cela tient comme tous les diables ; il en a eu trois couches, et la teinture ne s'ira qu'avec la peau. (Acte 1, scène 23, JÉRÔME)
Allez planter des choux et des poireaux, vous êtes déjà de la couleur d'un potager. (Acte 1, scène 24, LÉPINE)

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SECOND CHAPITRE DU DIABLE BOITEUX (1707)

En lui disputant le Partisan Manceau, j'avais eu du dessous autrefois ; j'en boite encore, comme vous voyez ; mais cette fois-ci j'ai bien eu ma revanche. (Acte 1, scène 1, LE DIABLE)
L'honneur de votre présence, et l'avantage de posséder un Héros comme vous, sont de terribles aiguillons pour un Diable qui aime tant soit peu la gloire ; et puis, j'avais bien pris mon champ de bataille en l'attaquant auprès d'Orléans, Monsieur Pillardoc n'avait pas beau jeu. (Acte 1, scène 1, LE DIABLE)
Il m'avait autrefois cassé une jambe, en m'enlevant un Partisan Manceau, je lui enlève un sous-traitant Limosin, et je lui crève un oeil, je suis bien vengé, me voilà content. (Acte 1, scène 1, LE DIABLE)
Voilà un beau début ! (Acte 1, scène 1, LE DIABLE)
Hé bien, s'il vous en souvient, vous vous souvenez donc bien aussi que les intrigues de Madame rapportaient beaucoup, et qu'outre cela, pour récompense, on me fit portier en sortant de Page. (Acte 1, scène 1, MONSIEUR SIMON)
Depuis ce temps-là, pour faire enrager le mari, l'Amant me prit en amitié ; il me fit son Commis, me mit dans une affaire où je gagnai beaucoup, puis dans une autre, où je gagnai davantage ; et puis encore dans d'autres, tant qu'à la fin je me trouvai dans une où j'étais l'associé du mari de Madame. (Acte 1, scène 1, MONSIEUR SIMON)
Voyez d'un autre côté le jeune Oronte, qui n'est qu'un nouveau Financier, et qui promet déjà autant que les plus consommés. (Acte 1, scène 1, LE DIABLE)
Soyez le bien venu, Seigneur Asmodée : votre absence m'a beaucoup duré, et je ne sais pas ce que je n'airais point fait, si vous aviez encore tardé quelques jours. (Acte 1, scène 3, THÉRÈSE)
Plaisirs, visites, affaires, promenades, tout se fait ici pendant la nuit ; et nos Dames se proposaient hier de faire avec des lévriers une partie de chasse aux flambeaux ; et s'il n'avait été grand jour quand elles sont sorties de table? (Acte 2, scène 1, LISETTE)
C'est une nouveauté pour moi de l'avoir vu. (Acte 2, scène 2, MADAME SIMON)
Ne me dis-tu pas l'autre jour que Madame t'a querellée, parce que dans le retroussis de son manteau, on avait oublié de mettre une de ses fesses ? (Acte 2, scène 2, VIVAREZ)
En tout cas nous avons l'eau forte. (Acte 2, scène 3, VIVAREZ)
Mettons-nous à table, restons-y jusqu'à demain, j'ai un nouveau recueil de chansons bachiques. (Acte 2, scène 3, LE MAJOR)
Ce n'est pas d'aujourd'hui que je le connais, c'est le neveu d'une Dame qui a été de mes amies, bon garçon, peu d'esprit, grande ignorance, beaucoup de paresse ; qui avec du goût pour le plaisir et pour le monde, se trouvant sans bien et sans talent pour s'y soutenir, a pris sans droit et sans aveu un petit collet, pour n'être point enrôlé, et un manteau noir pour cacher ses vices. (Acte 2, scène 3, LE MAJOR)
Moi, je me mettrai comme j'étais l'autre jour, avec un rideau. (Acte 2, scène 4, LA PRÉSIDENTE)
On n'a pas renvoyé chez moi ces rideaux de mon lit, dis, Lisette ? (Acte 2, scène 4, LA PR?SIDENTE)
Et moi, je me servirai d'un manteau, ou de mon habit de chasse, je me mettrai en Diane. (Acte 2, scène 4, MADAME SIMON)
La beauté de la voix de Madame Thérèse nous dédommagera du peu d'agrément de la vôtre. (Acte 2, scène 5, LA PRÉSIDENTE)
Je n'ai pris qu'un manteau, je suis moins gênée. (Acte 2, scène 3, MADAME SIMON)
Mais vraiment, voilà un enthousiasme de prédictions, qui vaut un almanach tout entier, et j'ai beaucoup de foi pour tout ce qu'elle me dira. (Acte 2, scène 3, MADAME SIMON)
À cette ligne coupée que vous voyez, qui va se rejoindre avec cet autre rameau. (Acte 2, scène 3, THÉRÈSE)
La coupure marque le veuvage, et le rameau le second mari. (Acte 2, scène 3, TH?R?SE)
Ah, Chevalier, vous serez le rameau, et moi je suis la ligne coupée. (Acte 2, scène 3, MADAME SIMON)
Oui, vous avez là des rideaux de lit qui ne sont pas discrets, ils vous feront aujourd'hui quelques affaires (Acte 2, scène 3, THÉRÈSE)
Oh, je ne crains point l'indiscrétion de mes rideaux, Madame Thérèse, ils n'ont rien à dire. (Acte 2, scène 3, LA PRÉSIDENTE)
Voilà des rideaux de lit qui vont se déchirer chez vous, Madame. (Acte 2, scène 4, LISETTE)
Vos rideaux sont des indiscrets, Madame la Présidente. (Acte 2, scène 5, THÉRÈSE)
Des plus beaux jours l'éclat nous importune, v.75 (Acte 2, scène 5, THÉRÈSE)

LE BON SOLDAT (1718)

Les cheveux et la peau, Jocrisse n'est-ce pas ? v.43 (Acte 1, scène 2, JACINTE)
Un morceau près du feu, j'ai froid à la poitrine, v.74 (Acte 1, scène 4, GROGNARD)
Puisque le clair de lune est le plus beau du monde. v.198 (Acte 1, scène 10, JACINTE)
Barbe vous trouvera quelque morceau de pain, v.244 (Acte 1, scène 12, JACINTE)
N'avez-vous point ici d'eau-de-vie, ou du vin ? v.247 (Acte 1, scène 12, LE SOLDAT)
Le voilà, vous avez deux oiseaux de rivière, v.266 (Acte 1, scène 14, LE ROTISSEUR)
Non, Madame, ce n'est qu'un fort petit cadeau, v.287 (Acte 1, scène 15, LÉANDRE)
Et l'on ne peut ici vous le donner plus beau. v.288 (Acte 1, scène 15, L?ANDRE)
Deux oiseaux de Rivière, un Levraut, trois Perdrix, v.379 (Acte 1, scène 17, LE SOLDAT)

LE PRIX DE L'ARQUEBUSE (1717)

Ta jeunesse, ta beauté, ton mérite, et l'amour que je vois bien que tu sens même. (Acte 1, scène 1, NANETTE)
Cet événement est déjà tout arrivé, vous ne m'apprenez rien là de nouveau, mais je ne vois pas, moi, ce qu'il y a de si fort réjouissant? (Acte 1, scène 5, MONSIEUR MARTIN)
Je n'ai eu moi, que ma part de notre patrimoine, qui n'est rien, mais la nature m'en dédommage par tant d'endroits, la figure, la beauté, les grâces, l'esprit, l'enjouement, la vivacité, la politesse, le savoir-vivre, talents très peu d'accord ensemble, et d'un consentement très unanime, réunis tous en ma personne. (Acte 1, scène 5, MADEMOISELLE GIRAUT)
Je ne puis pas bien dire qui vous êtes ; mais cependant votre visage ne m'est pas tout-à-fait nouveau. (Acte 1, scène 7, MADEMOISELLE GIRAUT)
Mon visage n'est pas nouveau ; il n'y a pourtant pas longtemps qu'il est fait, je suis tout jeune. (Acte 1, scène 7, MONSIEUR PRUNEAU)
Il y aurait moyen de greffer de beaux fruits sur un sauvageon comme vous, Mademoiselle. (Acte 1, scène 7, MONSIEUR PRUNEAU)
Je suis de Tours, Mademoiselle : je m'appelle Grégoire Pruneau. (Acte 1, scène 7, MONSIEUR PRUNEAU)
Vous êtes Monsieur Pruneau, de Tours, Monsieur ? (Acte 1, scène 7, MADEMOISELLE GIRAUT)
C'est mon Chevalier, ma nièce ; Monsieur Pruneau ne veut tirer le prix que pour viser à moi. (Acte 1, scène 8, MADEMOISELLE GIRAUT)
Cela vaut mille fois mieux que Grégoire Pruneau. (Acte 1, scène 9, MADEMOISELLE GIRAUT)
Vous avez une tante toute spirituelle, une cousine toute charmante ; et c'est un avantage bien flatteur de pouvoir entrer dans une famille où l'esprit et la beauté paraissent être héréditaires. (Acte 1, scène 10, DORANTE)
Tout le monde s'assemble sous les avenues, le Peuple, les Magistrats, les Premiers de la Ville, la Noblesse des environs, la Jeunesse, les Dames, l'élite des Provinces, toutes les Brigades sont sous les armes ; c'est un beau coup d'oeil, cela est beau à voir. (Acte 1, scène 11, MONSIEUR MARTIN)
Voilà trois mariages sur le Bureau, comme vous voyez : si vous y donnez votre aveu, à la bonne heure ; si vous le refusez, on s'en passera, tout coup vaille, et l'on ne laissera pas de passer outre : voilà de quoi il est question. (Acte 1, scène 11, MADEMOISELLE GIRAUT)
Des trois mariages qui sont sur le Bureau, aucun n'aura mon aveu : si vous vous en passez, je passerai outre ; voilà ma décision. (Acte 1, scène 11, MONSIEUR MARTIN)
Ce jeu de l'Arquebuse ne laisse pas au bout du compte d'attirer ici un tas de godelureaux, de fainéants, de chercheurs de bonnes fortunes, hom, hom, hom, hom. (Acte 1, scène 11, MONSIEUR MARTIN)
Ne vous effarouchez point, et demeurez ici, Monsieur Pruneau. (Acte 1, scène 12, MADEMOISELLE GIRAUT)
Soyez-moi fidèle, Monsieur Pruneau, nous voyagerons ; je veux aller à Tours. (Acte 1, scène 12, MADEMOISELLE GIRAUT)
Tu fais là un beau panégyrique de la bonne Ville. (Acte 1, scène 14, DORANTE)
Je m'y suis fait des jaloux ; ils ont écrit au Bureau contre moi, un mauvais vent a soufflé sur mon affaire ; et l'on m'a cassé comme un verre. (Acte 1, scène 14, BRACASSAK)
Tout net, te dis-je, mais je m'en soucie peu, les morceaux en sont bons, pour être dérégimenté je n'en vaux pas pis. (Acte 1, scène 14, BRACASSAK)
Tout beau, tout beau, manant, point de jeu de main, je vous prie. (Acte 1, scène 17, BRACASSAK)
Voilà Monsieur Pruneau qui est fort riche aussi, mon frère. (Acte 1, scène 22, MADEMOISELLE GIRAUT)
Je l'accepte : il faut bien retourner au pays avec quelque chose de nouveau. (Acte 1, scène 22, MONSIEUR PRUNEAU)
À Meaux tirer le Prix ; v.44 (Acte 1, scène 22, BRACASSAK)
Cinq ou six hobereaux, v.49 (Acte 1, scène 22, BRACASSAK)
Tirer le Prix à Meaux. v.51 (Acte 1, scène 22, BRACASSAK)
À tirer leur poudre aux moineaux. v.54 (Acte 1, scène 22, BRACASSAK)

LES FÊTES NOCTUNES DU COURS (1714)

Que baigne une eau pure et tranquille, v.4 (Acte 1, scène 1, CHOREDA)
Ce sont ces beaux lieux que la Paix v.9 (Acte 1, scène 1, CYNOEDOR)
Dans ce beau réduit, v.24 (Acte 1, scène 1, CHOREDA)
Son Flambeau vous luit ; v.29 (Acte 1, scène 1, CHOREDA)
Fort bien, vous n'êtes curieuse que de bijoux, et vous n'aimez pas les tableaux. (Acte 1, scène 2, MARTON)
Il faut que vous soyez bien au Bureau pour avoir cet emploi-là. (Acte 1, scène 3, MARTON)
Cela ne changera pas beaucoup le tien. (Acte 1, scène 3, CINOEDOR)
Bonjour, beau Masque, vous me voyez à visage découvert, et vous ne me connaissez pas ? (Acte 1, scène 5, MARTON)
Je vous connais, Masque, vous avez beau faire. (Acte 1, scène 6, ORONTE)
Tenez, Monsieur, un amour qui se place si mal en naissant, est un petit monstre qu'il faut étouffer dès le berceau, ou le faire du moins crever de chagrin quand on l'a trop laissé vivre. (Acte 1, scène 14, FINETTE)
Je donnais de grands repas, des concerts, des bals, des cadeaux, toutes sortes de réjouissances. (Acte 1, scène 17, BUTORVILLE)
Je suis en âge d'en faire, je vous l'avoue ; mais c'est beaucoup de les reconnaître, et de tâcher de les réparer. (Acte 1, scène 20, CLITANDRE)
On vous tendait un panneau, Monsieur ; Mais la force de la vérité a de grandes prérogatives. (Acte 1, scène 20, L'OLIVE)
Oiseaux de qui le ramage v.69 (Acte 1, scène 22, TOUS)
Beautés qui voulez qu'on vous aime, v.106 (Acte 1, scène 22, TOUS)

LA FEMME D'INTRIGUES. (1692)

Mais, mon zèle l'emporte sur la curiosité : dis-moi donc, qui y a-t-il de nouveau. (Acte 1, scène 2, LA BRIE)
Vous voilà toute en eau. (Acte 1, scène 3, GABRILLON)
À peine ai-je eu le loisir de manger un morceau chez une de mes amies. (Acte 1, scène 3, MADAME THIBAUT)
Oui, qui peste comme un beau diable de voir que rien n'avance. (Acte 1, scène 3, GABRILLON)
Il dit qu'il a trouvé l'invention de faire un fard à l'épreuve de tous les temps, des couleurs qui une fois appliquées sur un teint, durent autant que la peau : en un mot, il se vante d'avoir trouvé le secret de farder un visage à fresque. (Acte 1, scène 3, GABRILLON)
À propos de la rue saint Martin, vous êtes-vous souvenue d'aller à ce Messager de Rouen, savoir si ce quartier de veau de rivière, ce muid de cidre, ces pots de noix confites, et ces deux témoins sont arrivés. (Acte 1, scène 3, MADAME THIBAUT)
Je vous baise les mains : je fais de la musique, c'est mon métier ; et tous les Commandeurs du monde ne me feraient pas montrer à de petites filles qui ne veulent point apprendre de mes airs, et les trouver plus beaux que ceux de l'Opéra même. (Acte 1, scène 5, LE MAÎTRE À CHANTER)
Je vous avoue, Madame, qu'avant que d'avoir eu l'honneur de vous voir, je n'avais point encore ouï dire qu'il y eût de beaux esprits à brevets. (Acte 1, scène 7, MADAME THIBAUT)
S'il est besoin de faire preuve de beau génie, grâces au Ciel, il court dans le monde des Sonnets et des Madrigaux de ma façon, qui ont fait dire à plus d'un connaisseur, qu'en matière de Poésie je ne pouvais manquer d'être bel esprit à la première promotion. (Acte 1, scène 7, DORISE)
Je travaille à mettre en beau langage le Code, le Protocole des Notaires, et le Praticien Français. (Acte 1, scène 7, DORISE)
Après quelques aventures, mon bonheur m'a conduit ici, et il ne s'est peut-être pas encore vu un plus beau coup de sympathie. (Acte 2, scène 1, LA RAMEE)
Je t'ai vu un temps que tu n'en avais pas de fort beaux restes. (Acte 2, scène 1, JOLICOEUR)
Je donnais des ordres à un de mes Sergents, et regardais la beauté de votre salle. (Acte 2, scène 2, LA RAMEE)
Ils ne gagnaient pas de l'eau. (Acte 2, scène 3, LA BRIE)
Croyez-moi, mon beau Gentilhomme, ne méprisez point mes conseils ; il y a tant de femmes qui ne s'appliquent uniquement qu'à réparer dans une jeunesse indigente le tort que lui fait la fortune : tâchez de vous associer avec quelque riche veuve. (Acte 2, scène 6, MADAME THIBAUT)
Quand je devrais les perdre, je ferai beau bruit pour mon argent, et tu entendras parler de moi. (Acte 2, scène 6, ANGÉLIQUE)
Adieu mon beau Cavalier, adieu. (Acte 2, scène 6, MADAME THIBAUT)
De Bourdeaux à Paris en deux jours ! (Acte 3, scène 3, CHAMPAGNE)
J'espère qu'après que vous l'aurez vue, vous avouerez comme moi que les cent mille livres qu'elle vous apporte en mariage, sont moins à estimer que sa beauté. (Acte 3, scène 3, LA RAMEE)
Est-ce que tu ne trouves pas que j'aie bon air en manteau. (Acte 3, scène 5, ÉRASTE)
En avez-vous remarqué la beauté ? (Acte 3, scène 12, LE MARQUIS)
Je donne toujours dans le beau : j'ai des chevaux, morbleu, qui tourneraient sur la pointe d'une épée, un Cocher qui a du poitrail, et pour le moins une once et demi de barbe ; pour moi, j'ai toujours aimé cela. (Acte 3, scène 12, LE MARQUIS)
Sur un coteau délicieux v.3 (Acte 4, scène 1, LE MAÎTRE À CHANTER)
Elle doit venir tantôt ici avec son mari : elle lui a fait croire que vous aviez un très beau bureau à vendre. (Acte 4, scène 6, LISETTE)
Lui viennent-elles du même Marchand dont elle a eu ces beaux habits, ce collier, ces bijoux, et cent autres choses dont nous avons fait si bon marché à son mari ? (Acte 4, scène 6, GABRILLON)
On a beau prêcher de l'intérêt, la nature est toujours la plus forte. (Acte 4, scène 15, MADAME THIBAUT)
Oh, je ne m'étonne plus de vous voir si déguenillé, un habit en lambeaux est le justaucorps à brevet du Parnasse. (Acte 5, scène 2, GABRILLON)
Les auteurs modernes en dramatique, tant en vers qu'en prose, de votre bonne ville et faubourgs de Paris, remontrent très humblement à votre Majesté, qu'après avoir sacrifié leurs soins et leurs veilles aux plaisirs du public, leur zèle serait tous les jours mal reconnu par certains quidams indiscrets, qui, de dessein prémédité, se transportant journellement ès lieux où lesdits auteurs font représenter leurs ouvrages, avec des appeaux à perdrix, des sifflets de chaudronniers, et autres armes offensives, desquelles ils chargent sans miséricorde tout ce qui ose paraître d'Acteurs sur le Théâtre, avec tant de fureur, que le comédien le plus intrépide est souvent contraint de lâcher pied, et de se retirer le coeur meurtri et tout percé de coups de sifflets. (Acte 5, scène 2, MONSIEUR DE LA PROTASE)
Je n'ignore pas non plus qu'eux, SIRE, que Pline le Naturaliste dans son Traité des Animaux, au Chapitre du mouvement vocal, dit que l'homme parle, que le Cerf brame, que le lion rugit, que le taureau beugle, que l'âne brait, et que le Parterre siffle ; je sais, dis-je, tout cela comme eux, SIRE ; mais Votre Majesté fait tous les jours des choses si incroyables, que nous osons espérer, etc. (Acte 5, scène 2, MONSIEUR DE LA PROTASE)
Elle fait de moi tout ce qu'elle veut : pour l'affaire d'aujourd'hui, elle m'a taxé à lui donner un bureau. (Acte 5, scène 5, ORGON)
C'est ce qui en ait la beauté, et pour moi, je n'ai jamais rien vu de plus agréable. (Acte 5, scène 5, ARDALISE)
Quand ce bureau sera venu, que nous le sachions, au moins. (Acte 5, scène 5, ORGON)
Ma pauvre Madame Thibaut, j'aurai beau chercher, je n'en trouverai jamais qui vaille le défunt. (Acte 5, scène 7, MADAME TORQUETTE)
Il serait beau qu'on me prît pour la grand'mère de mon mari, comme il est arrivé à des femmes de ma connaissance. (Acte 5, scène 7, MADAME TORQUETTE)
C'est que comme mes enfants sont jeunes, pour les tenir plus longtemps dans leur devoir, ils auraient besoin d'un beau-père qui ne vieillit pas si tôt. (Acte 5, scène 7, MADAME TORQUETTE)
Ah, le beau jeune homme ! (Acte 5, scène 9, MADAME TORQUETTE)
À la Touprix, pour façon de jupes et de manteaux, trois mille livres. (Acte 5, scène 9, MADAME TORQUETTE)
Et je voudrais après cela de ce Damoiseau ? (Acte 5, scène 9, MADAME TORQUETTE)

LE DIABLE BOITEUX (1707)

Après avoir passé les monts, j'aurais pu me reposer, vous arrêter, en passant, à Bayonne, à Bordeaux, à Tours, à Poitiers ; mais j'ai eu peur de vous laisser prendre un air de Province, dont les femmes ne se défont pas aisément : il n'y a rien de plus ridicule que ces airs de Province, à ce que l'on dit du moins. (Acte 1, scène 1, LE DIABLE)
La reconnaissance n'est pas leur faible ; ils trouvent qu'il y a quelque chose de trop bas là-dedans pour les caractères des héros qu'ils représentent : mais à cela près ; ce sont de bonnes personnes, et il n'y a presque pas un de ces cerveaux-là que je ne gouverne. (Acte 1, scène 1, LE DIABLE)
Ce serait beaucoup, et vous auriez peine à y suffire. (Acte 1, scène 1, THÉRÈSE)
Quoique je ne sois pas le Diable de la Chicane, je fais les affaires de la maison, j'y suis connu, j'y régente ; et cette intrigue, où je me trouverai mêlé par-ci par-là moi-même de la petite Comédie qu'on leur a promise : nous feront ensuite entre nous trois, nos réflexions en musique sur l'aventure ; et nous verrons de quoi vous êtes capables, et si vous profiterez bien du livre du monde, dont je vous ferai voir de temps en temps quelques nouveaux chapitres, avez-les figures. (Acte 1, scène 1, LE DIABLE)
Je ne le connais point pour Cupidon à la manoeuvre qu'on lui voit faire dans ce nouveau livre ; il révèle tout ce qu'on fait, il enlève les toits des maisons, pour découvrir les moindres faiblesses de tout le monde. (Acte 1, scène 1, ANGÉLIQUE)
Nous arrivons dans le moment, mon ange, Éraste, pour paraître plus beau et plus poli aux yeux d'Angélique, est allé se faire adoniser chez le Baigneur ; moi, qui suis plus vif, et qui ne peux souffrir de retardement, je viens saluer mon adorable, et tu me vois tout frais émoulu de l'armée. (Acte 1, scène 5, LÉPINE)
On nous a mandé qu'il était presque à l'agonie : j'en suis fâché ; car nous nous ressemblons comme deux gouttes d'eau. (Acte 1, scène 5, LÉPINE)
J'ai tout perdu, Monsieur Corbeau : un mari qui m'aimait si tendrement. (Acte 1, scène 14, MADAME LUCAS)
Cette fille-là est d'un bon conseil, Monsieur Corbeau. (Acte 1, scène 14, MADAME LUCAS)
Cela serait beau vraiment ! (Acte 1, scène 14, MARTON)
Pour cela oui, Monsieur Corbeau. (Acte 1, scène 14, MADAME LUCAS)
Oui, quelques figures expressives des bonnes qualités du défunt ; les vertus qui pleurent, par exemple, qui déchirent leurs vêtements, quelques bandes de velours, semées de chiffres et des armes du défunt ; il n'en faudra pas davantage, Monsieur Corbeau, il n'en faudra pas davantage. (Acte 1, scène 14, MADAME LUCAS)
Mais vos règles sont bien bizarres et bien ridicules, Monsieur Corbeau. (Acte 1, scène 14, MADAME LUCAS)
N'y aurait-il pas moyen d'égayer cela avec quelques petites prétintailles ; Monsieur Corbeau ? (Acte 1, scène 14, MARTON)
Il ferait beau voir une tenture mortuaire en falbala ? (Acte 1, scène 14, MONSIEUR CORBEAU)
Non, celui-ci est un diable moderne, que j'ai connu Greffier à la Peau, et qui, pou continuer ses fonctions dans l'autre monde, c'est fait recevoir Diable à la dernière promotion. (Acte 1, scène 18, LÉPINE)
Si ce n'est pas de l'ordre du défunt, c'est de l'imagination des vivants du moins ; et après un si beau coup, Madame, il ne nous reste plus que de faire trouver Éraste dans l'armoire, et son valet Lépine sous le bonnet carré du Procureur. (Acte 1, scène 18, LÉPINE)
Il me paraît qu'on a beau voyager, on ne trouve rien de nouveau. (Acte 1, scène 19, THÉRÈSE)
Grand chère et beau feu, tant qu'il durera, v.20 (Acte 1, scène 19, THÉRÈSE)
Ce beau mariage-là. v.30 (Acte 1, scène 19, TH?R?SE)
Cru voir un beau teint, v.67 (Acte 1, scène 19, THÉRÈSE)

LES FÉES. (1699)

Le soin de quelque nouveauté, v.24 (Acte 1, scène 1, LA FÉE)
D'un nouveau zèle animez les Auteurs, v.47 (Acte 1, scène 1, LA F?E)
Fi donc, Madame, vous vous moquez, je pense, cela serait beau, vraiment, que deux Fées se décoiffassent. (Acte 2, scène 2, DARINEL)
Le Prince, en la voyant, m'a paru demeurer immobile, moins d'étonnement que de chagrins : il hésitait à l'aborder, ou à me venir rendre ses hommages, lorsqu'un enfant, d'une beauté surprenante et d'un éclat merveilleux, est venu le déterminer ; de petites ailes mollement agitées le soutenaient en l'air ; il tenait un arc d'une main, et de l'autre une flèche d'or ; son épaule gauche était ornée d'un carquois : Suivez moi, Prince, lui a-t-il dit, en volant auprès de moi, voilà la Princesse que je vous destine ; ne résistez point à la volonté d'un Dieu qui fait son plaisir de vous rendre heureux. (Acte 2, scène 5, INEGILDE)
On a beau, pour les varier en cent manières, les faire succéder les uns aux autres, cette apparence de diversité ne suffit pas pour remplir l'inclination naturelle que nous avons au changement : il faut un contraste plus sensible pour former le vrai bonheur de la vie ; et les chagrins, les périls, les malheurs même sont nécessaires, pour mieux faire goûter l'avantage de les avoir évités. (Acte 2, scène 8, CLEONIDE)
Vos amants doivent se rendre incessamment ici ; je ne les connais pas mais vos tantes les Fées qui m'en ont parlé, en disent beaucoup de bien, elles les ont choisis comme pour elles. (Acte 2, scène 9, ASTUR)
C'est un jeune égrillard, beau, bien fait, de bonne mine, un peu étourdi, beaucoup libertin : mais de fort bonne humeur en revanche, et qu'on dit qui nous réjouira. (Acte 2, scène 9, ASTUR)
Jeunes beautés, cédez sans violence, v.170 (Acte 2, scène 10, UN HABITANT DE L'ÎLE)
Le rang où vous me voyez ne me fais pas oublier où je me suis vu ; et comme je suis un Prince de fortune de la façon de feue ma femme, vous me faites beaucoup d'honneur de vouloir devenir mon gendre. (Acte 2, scène 1, ASTUR)
On aimait dans ce temps-là comme on n'aime à cette heure ; une beauté fière est souvent la dupe de l'aventure. (Acte 2, scène 11, FINETTE)
Seigneur, je ne sais de quelle manière je dois recevoir la déclaration que vous me faites de vos sentiments ; peut-être faudrait-il m'en effaroucher, vous témoigner de la colère : mais je n'en ai point, je vous l'avoue ; et la seule chose qui me fait peine, est de ne pouvoir bien répondre à un langage qui m'est si nouveau. (Acte 2, scène 12, INEGILDE)
Le langage est nouveau : mais on ne laisse pas l'entendre. (Acte 2, scène 12, DARINEL)
Voilà de beaux projets. (Acte 2, scène 12, FINETTE)
Je n'étais qu'un berger, d'accord ; mais jeune, beau, bien fait, je le suis encore : et votre soeur, qui était la Fée de la Raison, n'a pas fait ma fortune sans savoir pourquoi. (Acte 2, scène 14, ASTUR)
Vraiment, voilà des Sages qui dansent bien, je les trouve d'assez belle humeur ; ils ne sont pas beaux, mais leurs maximes sont de fort bon sens. (Acte 4, scène 1, ASTUR)
On ne peut rien de mieux, vous avez beaucoup d'esprit. (Acte 4, scène 6, DARINEL)
Si vous avez la faiblesse d'en prendre, évitez du moins la confusion de le laisser paraître, et je prendrai soin de l'adoucir ; attendez avec tranquillité je dénouement de l'aventure, je vais travailler à le rendre heureux, et vous pouvez compter par avance qu'il vous fournira de nouveaux plaisirs. (Acte 4, scène 8, BLANDONIE)

COLIN-MAILLARD. (1701)

Bon, chercher, vous aurez beau chercher, vous ne trouverez rien, il est décampé. (Acte 1, scène 3, CLAUDINE)
Qui est un joli homme, un grand garçon, beau, bien fait, Capitaine en pied dans un Régiment de garnison ? (Acte 1, scène 8, LÉPINE)
Je m'égarais un peu : Mais tu dis les choses d'une manière si vive, si touchante, c'est un tableau si naturel ! (Acte 1, scène 8, MADAME BRILLARD)
Cela serait beau vraiment. (Acte 1, scène 11, CLAUDINE)
Qu'elle sera brillante, dans ce beau carrosse que je lui ferai faire ! (Acte 1, scène 2, ÉRASTE)
Le beau dessein à un homme comme vous, d'épouser une paysanne ? (Acte 1, scène 14, LÉPINE)
J'ai eu beau lui dire que vous lui vouliez parler, que Monsieur Robinot n'y était pas, que ce serait un grand plaisir pour vous de le voir. (Acte 1, scène 17, CLAUDINE)
Hom, quand j'aurai de belles pierreries aux oreilles, avec ces beaux habits dorés, dans ce beau carrosse qu'il me fera faire? (Acte 1, scène 17, CLAUDINE)
Un vieux corbeau, v.9 (Acte 1, scène 23, MONSIEUR ROBINOT)
Ne voulant pas qu'un franc moineau v.11 (Acte 1, scène 23, MONSIEUR ROBINOT)
Mais cet amoureux passereau, v.13 (Acte 1, scène 23, MONSIEUR ROBINOT)
Et le laid, le vilain oiseau, v.16 (Acte 1, scène 23, MONSIEUR ROBINOT)
Oh, non, Monsieur, vous y jouerez : cela serait beau vraiment, qu'au moment de ce qui va se faire vous manquassiez de complaisance ! (Acte 1, scène 23, ANGÉLIQUE)
Sous un bandeau que peut servir l'adresse ? v.32 (Acte 1, scène 23, MATHURIN)

LES BOURGEOISES Ã€ LA MODE. (1692)

Vous avez beaucoup d'enfants, Madame Amelin ? (Acte 1, scène 8, ANGÉLIQUE)
Tu as beau faire, Janot, je suis ta mère, et quoique tu sois un méchant enfant, bon sang ne peut mentir, je t'aime toujours, Janot, mon pauvre Janot ! (Acte 1, scène 10, MADAME AMELIN)
Le beau début ! (Acte 2, scène 9, LISETTE)
Y a-t-il quelque chose de nouveau, Lisette ? (Acte 3, scène 6, ANGÉLIQUE)
Il semble aux hommes qu'en les ruinant elles leur font grâce ; et de pauvres diables bien amoureux ne donnent toujours que trop aisément dans tous les panneaux qu'on veut leur tendre. (Acte 3, scène 9, LISETTE)
Oui, c'est une nouvelle manière de faire des présents sans conséquence, où je trouve qu'il y a beaucoup plus de bien séance, que dans toutes les autres. (Acte 3, scène 10, LISETTE)
Ah, mon fils, vous m'ébranlez tout le cerveau ! (Acte 4, scène 5, ANGÉLIQUE)
Nous aurons son mari quelquefois, nous verrons ma nièce la Greffière qui fait des vers, ma cousine l'Avocate, son beau-frère qui est plaisant, sa soeur la Conseillère, mon oncle le Médecin, sa femme et ses enfants, nous nous divertirons à merveilles. (Acte 4, scène 6, MONSIEUR SIMON)
Voilà votre chapeau par terre, prenez garde. (Acte 5, scène 4, LISETTE)
Monsieur, commençons par vider celui-là, rendez-moi la bague, ou la peste m'étouffe, je ferai beau bruit, et... Si... (Acte 5, scène 11, FRONTIN)
Bourreau ! (Acte 5, scène 12, MONSIEUR SIMON)
Vous voyez bien le transport au cerveau ? (Acte 5, scène 12, FRONTIN)
Vraiment oui, te perdre, voilà de beaux mystères. (Acte 5, scène 14, MADAME AMELIN)

LA PARISIENNE (1691)

Au contraire, il augmente encore quand je me trouve auprès d'elle ; et comme elle est simple, ingénue, innocente enfin, chaque fois que je tousse, elle me fait de grandes révérences, comme si j'éternuais ; j'ai beau lui dire, elle n'en démord point, et cela me fait enrager. (Acte 1, scène 1, DAMIS)
C'est le plus beau fou qu'on ait jamais vu. (Acte 1, scène 5, LA VIGNE)
Revenons à Éraste, vous l'aimez beaucoup ? (Acte 1, scène 8, LISETTE)
Fi, Monsieur, cela n'est ni beau ni honnête à un homme de robe, de vouloir séduire de jeunes personnes. (Acte 1, scène 12, LISETTE)
Le vent du bureau n'est pas bon pour moi ; mais je n'ai qu'une bagatelle à représenter. (Acte 1, scène 14, LISIMON)
Monsieur, vous auriez beau tousser, elle ne vous ferait plus de révérences. (Acte 1, scène 23, LA VIGNE)

L'Ã‰TÃ‰ DES COQUETTES (1754)

Il n'est point de femmes qui s'en louent, et les plus modestes croient beaucoup faire de ne pas s'en plaindre. (Acte 1, scène 1, ANGÉLIQUE)
Beaucoup, je te l'avoue. (Acte 1, scène 1, ANGÉLIQUE)
Oui, je me plais à connaître les différents effets que l'esprit et la beauté peuvent produire dans les coeurs. (Acte 1, scène 1, ANGÉLIQUE)
Il serait venu lui-même, Madame, mais il a eu ce matin des affaires au grand Bureau. (Acte 1, scène 3, LA FLEUR)
Je vous envoie, pour nantissement des cents autres, un diamant que vous avez trouvé beau, et que je reprendrai pour mille écus toutes fois et quantes. (Acte 1, scène 3, ANGÉLIQUE)
Fait à Paris, en mon Bureau, l'an de grâce 1690, et du Bail courant le troisième. (Acte 1, scène 3, ANG?LIQUE)
Les beaux noms pour un financier ! (Acte 1, scène 3, LISETTE)
Il est paré, poudré, beau comme un Adonis ; il a du blanc, du rouge, et des mouches. (Acte 1, scène 6, LISETTE)
Il vous fredonnera quelques airs nouveaux. (Acte 1, scène 6, LISETTE)
Allons, Monsieur des Soupirs, chantez-nous quelque air nouveau, je vous prie, de votre composition. (Acte 1, scène 7, ANGÉLIQUE)
Elles sont d'une grande beauté. (Acte 1, scène 7, CIDALISE)
Tu vois les plaisirs innocents que je me donne pendant l'absence du beau monde ? (Acte 1, scène 8, ANGÉLIQUE)
Fort bien, et l'on verra peut-être un tableau d'almanach de tes aventures. (Acte 1, scène 8, CIDALISE)
Vous voyez par là, Madame, que je tâche de m'accommoder à votre goût, et je m'éloigne autant qu'il m'est possible du petit collet et du manteau. (Acte 1, scène 10, L'ABBÉ)
Ma foi, Madame, le petit collet et le manteau ne gâtent rien. (Acte 1, scène 10, LISETTE)
Vous ne dites mot, mes beaux yeux, mes beaux sourcils, ma belle Reine. (Acte 1, scène 10, L'ABBÉ)
Le beau sujet d'étonnement ! (Acte 1, scène 10, LISETTE)
Mes beaux yeux, je suis au désespoir. (Acte 1, scène 10, L'ABBÉ)
J'en suis revenue d'hier au soir ; et désert pour désert, j'aime autant Paris que mon château. (Acte 1, scène 14, LA COMTESSE)
On dit que c'est un si beau lieu, Madame. (Acte 1, scène 14, ANGÉLIQUE)
Vous venez fort à propos, Monsieur Patin, et notre petit cercle avait besoin d'un chapeau. (Acte 1, scène 16, ANGÉLIQUE)
Toujours régal sur régal ; tous les jours des cadeaux ; et des présents même. (Acte 1, scène 16, ANGÉLIQUE)
Il a le nez dans un manteau, et il prend grand soin de se cacher. (Acte 1, scène 17, JASMIN)
Sans cadeaux et sans promenades, v.17 (Acte 1, scène 19, DES SOUPIRS)
Je n'en suis pas trop informée ; mais autant que j'en puis juger, on a fait entendre à ces Dames que depuis votre dernier départ vous avez toujours été en garnison dans le château de Martin-sec. (Acte 1, scène 22, LISETTE)
Dans le château de Martin-sec ! (Acte 1, scène 22, CLITANDRE)

LA DÃ‰SOLATION DES JOUEUSES (1687)

À propos de cet argent qu'on perd quelquefois contre Madame votre mère je n'y faisais pas réflexion d'abord, et je ne sais si vous avez tout à fait raison d'être bien aise de ce nouveau règlement. (Acte 1, scène 1, LISETTE)
Voilà des sentiments fort nobles, assurément, et je ne doute point que Dorante n'ait beaucoup contribué à vous les inspirer. (Acte 1, scène 1, LISETTE)
Il en fait beaucoup, Madame, je vous assure. (Acte 1, scène 3, DORANTE)
Nous nous connaissons en joueurs, nous autres, comme les peintres se connaissent en tableaux. (Acte 1, scène 3, MERLIN)
Ce n'est point la somme qui m'embarrasse et, Dieu merci, nous sommes en état, mes correspondants et moi, de faire tous les jours de plus grosses affaires mais les bijoux que vous avez envoyés ce matin chez moi, ne valent point, à beaucoup près, l'argent que vous en voulez avoir ; et vous savez, Madame, que dans le temps où nous sommes, on ne se charge guère de bijoux qu'on ne les ait à grand marche. (Acte 1, scène 4, TOPASE)
Le troupeau se rassemble à la fin. (Acte 1, scène 7, LA-COMTESSE)
Tôt, tôt, de l'eau de la reine de Hongrie, du papier brûlé, du vinaigre : il faut commencer par la délacer. (Acte 1, scène 8, LA-COMTESSE)
Ventrebleu Madame, on y jouera comme de coutume, ou je ferai beau bruit pour mon argent, je vous en réponds. (Acte 1, scène 9, LE-CAISSIER)
Il me fait songer a mes pierreries ; il faut que nous jouions, Madame, absolument, vous avez beau faire. (Acte 1, scène 9, L-INTENDANTE)
Cette affaire-ci est plus fâcheuse pour lui que pour un autre, et je vous assure qu'il perd beaucoup. (Acte 1, scène 9, CLITANDRE)
Il n'y a rien de plus triste que ce piquet ; et c'est ce jeu là qu'il fallait défendre, et non pas le lansquenet, qui est le plus beau jeu du monde, le plus universel, et celui où l'on peut faire le moins de friponneries. (Acte 1, scène 11, LISETTE)
Il fait fort beau cette après-dinée, allons. (Acte 1, scène 12, L-INTENDANTE)
Par ma foi, l'expédient des tuiles est bel et bon ; mais vous seriez plus fraîchement dans la cave, à ce qu'il me semble, et on ne s'aviserait jamais d'aller vous chercher parmi des tonneaux. (Acte 1, scène 12, LISETTE)
Oui, Madame, dans une de ces vieilles masures qui paraissent abandonnées ; on se trouvera à une certaine heure, les carrosses demeureront à cent pas, l'un d'un côté, l'autre de l'autre ; et l'on jouera aussi beau jeu que dans l'hôtel le mieux meublé, je vous en réponds. (Acte 1, scène 12, LE-MARQUIS)
Un bateau serait bien meilleur. (Acte 1, scène 12, LISETTE)
Un bateau ? (Acte 1, scène 12, L-INTENDANTE)
Oui, Madame, un bateau. (Acte 1, scène 12, LISETTE)
On prend un bateau au Pont-Rouge, et l'on va, jouant, jusqu'à Saint-Cloud, et si vous n'avez pas regagné votre argent, et que le coeur vous en dise, vous pourrez descendre jusqu'à Rouen, et Madame sera, par ce moyen, à demi-chemin de l'Angleterre. (Acte 1, scène 12, LISETTE)

L'IMPROMPTU DE LIVRY (1705)

Sa douceur, sa beauté, son éclat sans pareil, v.10 (Acte 1, scène 1, MONSIEUR SALLÉ)
Et le Seigneur de ces beaux lieux v.33 (Acte 1, scène 2, LE PÂTRE)
Les oiseaux dans ce beau séjour v.39 (Acte 1, scène 3, FLORE)
Ce sont ceux des mortels qui font plaisir aux Divinités, et je suis sûr que Madame la Déesse aimera cent fois mieux la Harangue que je suis chargé de lui faire, que les ramages de tous les oiseaux du pays. Madame, le compliment est de moi, au moins. (Acte 1, scène 4, LE CAPITAINE)
Ah, m'y voilà. On m'a fait Capitaine de ce Château, Madame, pour tout le temps que vous y demeurerez ; et je suis bien fâché que vous y demeuriez si peu, puisque ma Charge finira quand vous partirez, et c'est une bonne condition que celle du Maître de la maison. (Acte 1, scène 4, LE CAPITAINE)
Tout le monde n'est pas à portée comme lui de recevoir dans son Château des Divinités comme la vôtre ; et la faveur que vous lui faites est si rare et si précieuse? qu'elle lui fera? bien des envieux? (Acte 1, scène 4, LE CAPITAINE)
Il n'y a pas jusqu'aux perdreaux de la plaine, et aux jeunes faisans de la forêt, qui vont se disputer l'avantage d'être servis sur votre table ; et ce noble empressement en fera bien tuer qu'on ne vous servira point, et que le Seigneur du Château ne saura pas : mais comme le nouveau Capitaine en mangera sa part, c'est ce qui fait qu'il ne vous en dit mot devant lui. (Acte 1, scène 4, LE CAPITAINE)
Dans ces beaux lieux v.46 (Acte 1, scène 4, FLORE)
Peu de bien, beaucoup d'appas, v.77 (Acte 1, scène 7, MAROTTE)
Fille riche et sans beauté, v.85 (Acte 1, scène 7, LUCAS)
Profitons bien de nos beaux jours, v.91 (Acte 1, scène 8, MAROTTE)
De leurs beautés sans peine v.103 (Acte 1, scène 9, LUCAS)

LA FOIRE DE BESONS (1694)

Mon oncle est amoureux de Cidalise à la fureur, elle le fera donner dans tous les panneaux qu'elle voudra lui tendre. (Acte 1, scène 3, CLITANDRE)
Et avec tous ces avantages de la beauté et de la jeunesse, j'ai ceux aussi d'une naissance distinguée, d'une alliance considérable. (Acte 1, scène 4, MADAME ARGANTE)
Que ne souffre-t-on point pour les Dames ; il aime le beau sexe, c'est sa folie. (Acte 1, scène 6, CIDALISE)
Non, Madame, la plupart n'ont pris que le demi-bain même ; à la vérité il y a quelques chapeaux et quelques fontanges qui prendront le bain tout entier, et qui pourront bien aller jusqu'à Rouen porter des nouvelles du naufrage. (Acte 1, scène 7, L'ABBÉ)
Ces pauvres chapeaux ! (Acte 1, scène 7, MADAME ARGANTE)
Allons vite, votre manteau, Monsieur l'Abbé. (Acte 1, scène 8, LE CHEVALIER)
Mon manteau ! (Acte 1, scène 8, L'ABBÉ)
Comment donc, est-ce qu'on vole ainsi les manteaux à la Foire de Besons ? (Acte 1, scène 8, MADAME ARGANTE)
Mais je suis bien aise de savoir à qui mon manteau... (Acte 1, scène 8, L'ABBÉ)
Je ne vous quitterai pas, vous avez beau faire. (Acte 1, scène 10, MONSIEUR GUILLEMIN)
Les Dames, qui veulent faire emplettes, viennent ici dans la prairie voir danser, sauter, gambader, trotter, galoper ce qu'il y a de jeunes gens, et quand il s'en trouve quelqu'un beau, bien fait, et de bonne mine... Je me donne au diable, je l'ai échappé belle, moi qui vous parle, la bonne marchandise est de défaite en ce pays-ci. (Acte 1, scène 12, L'OLIVE)
Hé bien, mon enfant, il eut le crédit de me faire faire à la Justice des excuses publiques de mon étourderie ; et la Justice eut la bizarrerie de me faire porter en plein jour un flambeau tout allumé dans les rues de Paris. (Acte 1, scène 13, L'OLIVE)
Cela est nouveau. (Acte 1, scène 15, L'OLIVE)
Voilà un enfant qui promet beaucoup. (Acte 1, scène 16, FROSINE)
Et se marie-t-on beaucoup comme cela, dites ? (Acte 1, scène 18, MARIANE)
Entrons tous deux belle Isabeau, v.29 (Acte 1, scène 28, LE MARINIER)
Dans ton bateau, v.30 (Acte 1, scène 28, LE MARINIER)
Et nous irons chercher sur l'eau v.31 (Acte 1, scène 28, LE MARINIER)
Quelque anguille, ou quelque barbeau : v.32 (Acte 1, scène 28, LE MARINIER)

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LA FOIRE SAINT GERMAIN (1697)

Des cordons de chapeau ? (Acte 1, scène 1, LOLOTTE)
Eaux de senteur de Constantinople ? (Acte 1, scène 1, MANON)
Les sots doivent tribut aux gens d'esprit, et il y a dans cette Foire Saint-Germain quantité de Bureaux où je me fais payer mes rentes. (Acte 1, scène 1, LE CHEVALIER)
Vous en allez faire un des plus beaux ornements, Madame. (Acte 1, scène 3, MADEMOISELLE MOUSSET)
Te voilà, bourreau ? (Acte 1, scène 7, CLITANDRE)
Gare l'eau. (Acte 1, scène 8, LORANGE)
Tu as beau crier, tu iras en galère. (Acte 1, scène 11, LORANGE)
Je suis un peu coquet de mon naturel ; je les laisse se flatter ; je dis que je veux épouser l'une, je promets de faire la fortune de l'autre ; je donne des régals, des cadeaux, des promenades ; somme totale, je les amuse, et je ne conclus rien. (Acte 1, scène 16, MONSIEUR FARFADEL)
Oh, Monsieur Farfadel a beaucoup de conduite, au moins, c'est un fort honnête homme. (Acte 1, scène 21, MAROTTE)
Elle ne saurait tarder beaucoup encore. (Acte 1, scène 24, MADEMOISELLE MOUSSET)
Voyez ici, Messieurs le Cercle nouveau, des Figures parlantes, aussi hautes que le naturel ; voyez, ici, Messieurs. (Acte 1, scène 29, LORANGE)
Voilà un beau Cercle ! (Acte 1, scène 30, MADEMOISELLE MOUSSET)
Vous épouserez la Grisette, vous ; le beau-frère Farfadel continuera la pension de la tante, et il vous fera sous-fermier au premier jour. (Acte 1, scène 30, LE CHEVALIER)
Mille beautés, peu tigresses v.16 (Acte 1, scène 31, TOUS)

LES VENDANGES DE SURESNES (1695)

Je ne sais ce que ça veut dire, mais il m'est avis que j'ai plus d'esprit que Monsieu Thomasseau : oh pour ça oui, j'ai meilleur jugement. (Acte 1, scène 1, THIBAUT)
Tatigué, vela un friand morceau. (Acte 1, scène 4, THIBAUT)
N'est-ce point à Mademoiselle Thomasseau à qui vous en voulez ? (Acte 1, scène 5, MADAME DUBUISSSON)
J'ai toujours été de vos amies, et je ne connais point ce nigaud-là ; c'est un provincial que la maîtresse des coches m'a adressé, parce qu'il n'a point voulu d'abord aller chez son beau-père, il ne l'a jamais vu, non plus que sa maîtresse. (Acte 1, scène 5, MADAME DUBUISSSON)
Le rebuter de son mariage, dégoûter de lui Monsieur Thomasseau, et le renvoyer à Gisors avec les étrivières ? (Acte 1, scène 5, CLITANDRE)
Voici votre rival, allez rejoindre Thibaut ; vous avez tous trois de l'esprit, vous concerterez ensemble ce qu'il faudra faire ; et pour moi, je vous livre votre homme dans quelque panneau que vous puissiez lui tendre. (Acte 1, scène 7, MADAME DUBUISSSON)
Oui, vous êtes mon cousin à Gisors ; mais Paris, et chez le beau-père, vous serez mon laquais, entendez-vous ? (Acte 1, scène 8, VIVIEN)
Voilà un petit fripon qui me ferait quelque affront, il vaut mieux que j'aille sans laquais chez le beau-père. (Acte 1, scène 8, VIVIEN)
Nous peuplons beaucoup du côté gauche, nous autres. (Acte 1, scène 1, VIVIEN)
Cela est beau, Madame ? (Acte 1, scène 1, VIVIEN)
Comment, beau ! (Acte 1, scène 1, MADAME DUBUISSSON)
Monsieur Thomasseau sera bienheureux, d'avoir pour gendre Monsieur Vivien de la Chaponnardière. (Acte 1, scène 1, MADAME DUBUISSSON)
C'est Mademoiselle Thomasseau, que vous venez épouser. (Acte 1, scène 10, MADAME DUBUISSSON)
Adieu, Mademoiselle Thomasseau. (Acte 1, scène 10, VIVIEN)
Non, Monsieur de Gisors, non, vous ne partirez pas comme cela, il faut que vous voyez mon papa Thomasseau auparavant : votre mine le réjouira, car elle est fort drôle. (Acte 1, scène 10, LORANGE)
Vous voilà, papa Thomasseau, venez-vous-en un peu moriginer votre gendre, il perd le respect, je vous en avertis. (Acte 1, scène 11, LORANGE)
Quoi, Madame, c'est là Monsieur Thomasseau ? (Acte 1, scène 11, VIVIEN)
Oui, lui-même, votre beau-père. (Acte 1, scène 11, MADAME DUBUISSSON)
Je n'y comprends rien, c'est une espèce de Paysan, que le beau-père. (Acte 1, scène 11, VIVIEN)
Oh, dame, la maison de Thomasseau n'est pas si noble que la vôtre, il y a bien à dire. (Acte 1, scène 11, MADAME DUBUISSSON)
Ce n'est point avec ces gens-là que mon père a conclu mon mariage assurément, il y a quelque autre Thomasseau, Madame. (Acte 1, scène 11, VIVIEN)
S'il y en a, c'est donc comme chez vous, du côté gauche : mais les Thomasseau, en ligne directe, sont de Surêne ; je n'en connais point d'autres. (Acte 1, scène 11, MADAME DUBUISSSON)
Est-ce encore là un Thomasseau, Madame ? (Acte 1, scène 12, VIVIEN)
C'est le chevalier Thomasseau, ce fameux, ce brave Officier aux Gardes, de son métier ? (Acte 1, scène 12, MADAME DUBUISSSON)
Voilà comme le Chevalier Thomasseau fait des recrues. (Acte 1, scène 12, MADAME DUBUISSSON)
Voilà Monsieur Thomasseau, tout est perdu. (Acte 1, scène 12, MADAME DUBUISSSON)
Thomasseau m'ôte l'avantage de vous y donner un appartement ? (Acte 1, scène 13, MADAME DUBUISSSON)
Il faut avouer que Monsieur Thomasseau est la politesse et la galanterie même. (Acte 1, scène 13, MADAME DESMARTINS)
Le pauvre Monsieur Thomasseau est en assez bonne main. (Acte 1, scène 14, MADAME DUBUISSSON)
Voilà le gendre et le beau-père aux prises ; allons avertir Clitandre des sentiments où Monsieur Thomasseau est pour sa famille. (Acte 1, scène 16, MADAME DUBUISSSON)
Oui, Monsieur, et pour mes péchés je suis venu ici dans le dessein d'épouser la fille d'un Monsieur Thomasseau, qui est le plus grand coquin, le plus grand maraud? (Acte 1, scène 17, VIVIEN)
Et savez-vous bien que je suis Monsieur Thomasseau, moi qui vous parle ? (Acte 1, scène 17, MONSIEUR THOMASSEAU)
Tenez, il est borgne et boiteux, Monsieur Thomasseau ; je viens de le quitter, vous dis-je. (Acte 1, scène 17, VIVIEN)
Vous êtes un nouveau débarqué en ce pays-ci, quelques égrillards ont voulu rire à vos dépends et aux miens. (Acte 1, scène 17, MONSIEUR THOMASSEAU)
Oh çà, c'est moi qui suis Monsieur Thomasseau, encore une fois. (Acte 1, scène 17, MONSIEUR THOMASSEAU)
Il ne le sera pas, je vous en réponds : le voilà encore avec Monsieur Thomasseau ; entrez, vous dis-je, et nous laissez faire. (Acte 1, scène 18, MADAME DUBUISSSON)
Je vous le disais bien, moi, que le Thomasseau de tantôt n'était pas le véritable, et qu'il y en avait quelque autre. (Acte 1, scène 19, VIVIEN)
Elle était de complot avec vos cadets, ces vilains Thomasseaux que je vous ai dit. (Acte 1, scène 19, VIVIEN)
Tenez, beau-père, j'ai dans la pensée que ce paysan-là est le Thomasseau de tantôt, hors qu'il n'est plus borgne. (Acte 1, scène 21, VIVIEN)
Je vous proteste, Monsieur Thomasseau. (Acte 1, scène 22, VIVIEN)
Oh, tu as beau nier, il faut que tu m'épouses, ou que tu sois pendu. (Acte 1, scène 22, LORANGE)
Vous croyez, Monsieur Thomasseau? (Acte 1, scène 24, VIVIEN)
Darlu, Rousseau, Fitte et Forelle. v.10 (Acte 1, scène 25, SECOND VENDANGEUR)
Quand on a passé ses beaux jours, v.51 (Acte 1, scène 25, PREMIER VENDANGEUR)

LA MÉTEMPSYCOSE (1718)

Tout ce que les Beaux-Arts ont de plus précieux. v.61 (Acte 1, scène 2, MERCURE)
Le beau séjour aura pour eux d'attraits ! v.69 (Acte 1, scène 2, LA PAIX)
Mais pour leur redonner de nouveaux agréments, v.95 (Acte 1, scène 2, MERCURE)
Ce sujet-là sera nouveau pour eux. v.126 (Acte 1, scène 3, BACCHUS)
Le trop beau, le trop grand ennuie : v.138 (Acte 1, scène 3, BACCHUS)
Si fertile en beaux esprits, v.165 (Acte 1, scène 3, MERCURE)
Et sur le beau coteau qui termine la plaine ; v.178 (Acte 1, scène 3, MERCURE)
Où Jupiter faisait garder cette Beauté, v.180 (Acte 1, scène 3, MERCURE)
Je reconnais aussi ces beaux valons sans peine. v.184 (Acte 1, scène 3, L'AMOUR)
Sous l'empire d'un nouveau Maître, v.190 (Acte 1, scène 4, THALIE)
Un nouveau genre de plaisirs. v.193 (Acte 1, scène 4, THALIE)
Je me suis fait, serpent, cygne, taureau, v.295 (Acte 2, scène 1, JUPITER)
Et ne changeais d'objet que pour changer de peau. v.298 (Acte 2, scène 1, JUPITER)
Pour plaire à la beauté que j'aime, v.304 (Acte 2, scène 1, JUPITER)
C'est un bonheur pour moi tout nouveau, tout charmant v.335 (Acte 2, scène 1, JUPITER)
Auprès d'une beauté de tout point accomplie, v.338 (Acte 2, scène 1, MERCURE)
Et dans les plus beaux lieux qui soient en Thessalie, v.339 (Acte 2, scène 1, MERCURE)
Junon aura beau la chercher. v.385 (Acte 2, scène 3, FAUNUS)
Grande chère et beau feu, v.399 (Acte 2, scène 3, JUPITER)
Par tous vos beaux discours je ne suis point tenté. v.505 (Acte 2, scène 5, FAUNUS)
Dans cet équipage nouveau, v.590 (Acte 2, scène 8, L'AMOUR)
Il a fallu quitter tout-à-fait mon bandeau. v.592 (Acte 2, scène 8, L'AMOUR)
Sans le bandeau j'ai bonne vue, v.600 (Acte 2, scène 8, L'AMOUR)
Avec le bandeau bon esprit. v.601 (Acte 2, scène 8, L'AMOUR)
Vous avez perdu de beaux jours. v.647 (Acte 2, scène 9, L'AMOUR)
Animez-vos d'un nouveau zèle, v.762 (Acte 2, scène 12, L'AMOUR)
Passons ici nos plus beaux jours, v.789 (Acte 2, scène 13, PHILIS, PHILÈNE)
Passons ici nos plus beaux jours, v.793 (Acte 2, scène 13, PHILIS, TIRCIS)
Allez ailleurs passer vos plus beaux jours, v.796 (Acte 2, scène 13, FAUNUS)
Dans vos hameaux ou sous vos hêtres : v.797 (Acte 2, scène 13, FAUNUS)
Le beau régal ! Prenez un parti sage v.801 (Acte 2, scène 13, MÉROPE)
Dans quel trouble nouveau votre discours me plonge ! v.899 (Acte 3, scène 2, CORINE)
La beauté, du Ciel est un don v.922 (Acte 3, scène 2, MÉROPE)
Je ne vois point ici la beauté qu'il adore. v.1032 (Acte 3, scène 5, BACCHUS)
Un Anneau constellé dont le charme invincible, v.1082 (Acte 3, scène 6, BACCHUS)
La Beauté qui règne en son âme ? v.1122 (Acte 3, scène 7, BACCHUS)
Un anneau. v.1167 (Acte 3, scène 7, FAUNUS)
Oui, mais de cet anneau vous ignorez l'usage. v.1169 (Acte 3, scène 7, FAUNUS)
Mais ce n'est rien que la beauté ; v.1176 (Acte 3, scène 7, FAUNUS)
À votre doigt l'anneau porté, v.1178 (Acte 3, scène 7, FAUNUS)
Au plaisir de la nouveauté, v.1188 (Acte 3, scène 7, FAUNUS)
Dans tous mes sens allume un nouveau feu. v.1260 (Acte 3, scène 9, CORINE)
De ces beaux lieux habités par Corine. v.1269 (Acte 3, scène 10, PHILÈNE)
À celui s'être aimé d'une beauté qu'on aime, v.1271 (Acte 3, scène 10, PHIL?NE)
Pour mettre cet anneau, du moins il faut attendre v.1311 (Acte 3, scène 10, CORINE)
Ces Jardins, ce beau Bâtiment, v.1327 (Acte 3, scène 11, MÉROPE)
Vous n'avez plus l'Anneau magique ? v.1418 (Acte 3, scène 13, FAUNUS)
Orna votre beauté naissante, v.1427 (Acte 3, scène 13, FAUNUS)
De nos beaux jours ; v.1527 (Acte 4, scène 2, UNE SUIVANTE DE L'AMOUR)
Sans être vu, l'anneau magique a réussi. v.1556 (Acte 4, scène 3, BACCHUS)
Sans que sur vos cerveaux il fasse v.1695 (Acte 5, scène 3, FAUNUS)
Quel affront ! Quelle nouveauté ! v.1792 (Acte 5, scène 5, VÉNUS)
Et je prévois que leur fatal ciseau, v.1818 (Acte 5, scène 6, MERCURE)
Les fera presque tous périr dès le berceau. v.1819 (Acte 5, scène 6, MERCURE)
Applaudit à l'enfant du beau coup qu'il a fait. v.1903 (Acte 5, scène 10, L'INCONSTANCE)
D'en démêler encore de nouveaux incidents, v.1953 (Acte 5, scène 11, MERCURE)
Dans ce beau séjour enchanté, v.1962 (Acte 5, scène 12, UNE THESSALIENNE)
Une jeune et tendre beauté, v.1964 (Acte 5, scène 12, UNE THESSALIENNE)
De ces beaux lieux, v.1991 (Acte 5, scène 12, UN THESSALIEN)
Profitez bien de vos beaux ans. v.1994 (Acte 5, scène 12, UN THESSALIEN)

LA LOTERIE (1697)

Votre conversation me ferait beaucoup d'honneur et de plaisir, Monsieur, mais je n'ai pas le temps d'en profiter. (Acte 1, scène 2, MARIANE)
Adieu l'autre Mameselle. L'être beaucoup grandement civilité, les Mondames desti pays. (Acte 1, scène 3, LE-FLAMAND)
L'être un fort bon marchandise qu'une Loterie, et si vous vouloir bien permettre, Monsir, moi avoir intention de mettre beaucoup al vôtre. (Acte 1, scène 3, LE-FLAMAND)
Elle est fermée, Monsieur, mais cela n'empêche pas, si vous voulez, j'ai des boîtes de reste, et de quoi faire de nouveaux lots. (Acte 1, scène 3, SBRIGANY)
Et moi l'être bien aussi tout de même, Monsir, Et vous demande en grâce de n'y point beaucoup trop attraper tout le monde dy Paris sti fois-ci, afin que moi puisse l'autrefois encor attraper une bonne partie. (Acte 1, scène 3, LE-FLAMAND)
Hé bien, Lisette, as-tu déterminé ma fille a ne plus voir Éraste, et à recevoir favorablement Monsieur Desfourneaux le Commissaire : nous aurons peut-être besoin de lui, comme tu sais. (Acte 1, scène 5, SBRIGANY)
Vous avez raison, Monsieur, et la Loterie pourrait devenir tumultueuse sur les fins : Mais voulez-vous que je vous dise, outre que Mademoiselle votre Fille est un peu rétive à vos ordres, je doute que la seule protection de Monsieur Desfourneaux puisse vous garantir de l'orage qui se prépare. (Acte 1, scène 5, LISETTE)
Le beau préjugé. Va,va, va al tuo negotio. (Acte 1, scène 6, SBRIGANY)
Il s'en servira pour l'amour de moi : Je veux qu'il se fasse beau moi cet enfant-là. (Acte 1, scène 11, LISETTE)
Le beau lot que vêla. (Acte 1, scène 11, BASTIEN)
Une bouteille d'eau de Cordoue : une bouteille d'eau, mais il saut que vous soyez fou de me bailler ça, la rivière passe au bas de cheux nous. (Acte 1, scène 11, BASTIEN)
C'est de l'eau de Cordoue : vous ne savez ce que vous dites. (Acte 1, scène 11, LISETTE)
Il m'en ennuyait beaucoup, Madame, je vous assure. (Acte 1, scène 17, SBRIGANY)
Il y en a de dix-huit et de vingt que ne leur en donne-t-il le bourreau qu'il est, que ne leur en donne-t-il. (Acte 1, scène 17, SBRIGANY)
Voilà une fille qui prend beaucoup sur elle au moins. (Acte 1, scène 22, LISETTE)
Il l'aime beaucoup, j'en suis sûr. (Acte 1, scène 22, SBRIGANY)
Je suis un cadet de Bordeaux, vif, prompt, colère, et un peu tueur même de mon métier. (Acte 1, scène 24, LE-GASCON)
On aura beau dire que votre Loterie n'est pas fidèle, Monsieur, que vous êtes un maroufle, je n'en croirai rien pour moi, je vous assure, et je vous rendrai toute la justice qui vous est dûe. (Acte 1, scène 25, LA-PROCUREUSE)
Il me semble qu'il ne faut que des yeux, et j'en ai de beaux et de bons, Dieu merci ; voyez un buffet garni d'argent. (Acte 1, scène 26, LA-PROCUREUSE)
Le voilà apparemment, il est fort beau , mais je ne crois pas qu'il puisse tenir dans mon carrosse. (Acte 1, scène 27, LA-MARQUISE)
Voilà un beau morceau de la Chine, Madame. (Acte 1, scène 27, SBRIGANY)

LE MOULIN DE JAVELLE. (1692)

Que ce cocher se range à cent pas de la maison : là, sur le bord de l'eau, et qu'il nous attende. (Acte 1, scène 1, LA COMTESSE)
Oh palsambleu, appelez, nous sommes faits à cela ; je serai rossé : mais je serai payé, ou je ferai beau bruit. (Acte 1, scène 2, LE COCHER)
As-tu aujourd'hui beaucoup de ces compagnies-là chez toi, Madame Bertrand ? (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
Écoutez, petite fille, c'est Monsieur Simonneau qui est là-haut, au moins. (Acte 1, scène 7, MADAME BERTRAND)
Ce Monsieur Simonneau le Procureur est là-haut avec un autre homme de Justice. (Acte 1, scène 10, BERTRAND)
Sa femme soupait ici, à Monsieur Simonneau. (Acte 1, scène 10, BERTRAND)
Pargué, Madame Simonneau est avec ly, elle est itou sa cousine, je gage. (Acte 1, scène 13, BERTRAND)
Écoutez, Madame Simonneau, je ne sais pas comment vous l'entendez : mais pour moi sérieusement? (Acte 1, scène 15, MONSIEUR SIMONNEAU)
Messieurs, Madame Simonneau, encore une fois, je n'entends point raillerie. (Acte 1, scène 15, MONSIEUR SIMONNEAU)
Hé morgué, Monsieur Simonneau, vous n'y songez pas. (Acte 1, scène 15, BERTRAND)
Oh, pour moi, je suis votre serviteur : mais je déposerai aussi contre vous, Monsieur Simonneau, je vous en avertis. (Acte 1, scène 15, DORANTE)
Il faut suivre cette affaire-là, Monsieur Simonneau. (Acte 1, scène 17, MONSIEUR DU ROLLET)
Allons, nos perruques, nos chapeaux, nos cannes. (Acte 1, scène 17, MONSIEUR SIMONNEAU)
Nous méritons bien cela, Monsieur Simonneau : des maris de bon sens ne doivent jamais aller où ils peuvent rencontrer leurs femmes. (Acte 1, scène 18, MONSIEUR DU ROLLET)
Tenez, point de mais avec nous, Monsieur Simonneau, ou bien je déposerons contre vous, choisissez. (Acte 1, scène 19, BERTRAND)
Hé bien, elle ne donne pas tout à mon oncle, non : elle garde toujours quelque chose, et puis elle achète tantôt des gants, tantôt un chapeau, des cravates à dentelles, une canne quelquefois ; et tout cela n'est pas pour elle, comme vous le voyez. (Acte 1, scène 27, MAROTTE)
Je ne sais pas ce que vous lui préparerez : mais si jamais un nigaud comme lui me donnait rendez-vous au Moulin de Javelle, le cadeau lui coûterait cher, sur ma parole. (Acte 1, scène 30, FINETTE)
Voilà le mariage et la campagne à vau-l'eau. (Acte 1, scène 31, FINETTE)
Vous donnez dans les beautés musiciennes, monsieur le Baron de Ganivet ! (Acte 1, scène 32, LA COMTESSE)
Et beaucoup de politesse, Madame. (Acte 1, scène 32, FINETTE)
Je me donne au diable, si ce n'est le neveu de Monsieur Simonneau, notre Procureur. (Acte 1, scène 32, BERTRAND)
Bon, si je n'avais eu un beau naturel, je serais le plus grand benêt qu'il y eût au monde. (Acte 1, scène 33, GANIVET)
Je me donne au diable, si cela ne serait comme je le dis : mais il avait beau me tenir la bride haute, je prenais le mords aux dents quelquefois. (Acte 1, scène 33, GANIVET)
C'est la fleur des nouveaux Barons. v.33 (Acte 1, scène 38, LE MARIÉ)

LA GAZETTE (1693)

Le beau commerce ! (Acte 1, scène 1, CLITANDRE)
Je vais sortir, il n'y a aucun de mes garçons à la boutique, prenez-y bien garde, et ne vous amusez pas, je vous prie, à babiller avec un tas de godelureaux qui rôdent toujours autour d'ici. (Acte 1, scène 4, GUILLEMIN)
Que demandez-vous, Monsieur, des Livres nouveaux ? (Acte 1, scène 8, FILLON)
Voilà un titre qui promet beaucoup. (Acte 1, scène 8, CRISPIN)
Enseignez-moi, Monsieur, le Bureau d'adresse de la Gazette, je vous prie. (Acte 1, scène 11, LA COMTESSE)
J'ai un frère qu'on aime mieux que moi ; Je suis pourtant plus beau garçon que lui, je suis plus grand : mais ils disent que je n'ai pas d'intelligence. (Acte 1, scène 18, CHONCHON)
Par la morbleu, Monsieur Guillemin, si l'on ne me fait justice, je m'enrôlerai, et puis après nous verrons beau jeu. (Acte 1, scène 18, CHONCHON)
C'est le plus beau brun qu'il y ait au monde. (Acte 1, scène 20, LA MARQUISE)

NOUVEAU PROLOGUE, ET NOUVEAUX DIVERTISSEMENTS (1704)

Peut disputer de la beauté. v.10 (Acte 1, scène 1, LA FORTUNE)
N'a jamais fait que de beaux jours, v.27 (Acte 1, scène 1, LA FORTUNE)
Que de ces beaux vallons les mers prennent la place, v.55 (Acte 1, scène 1, LA FORTUNE)
Au pied de ce coteau qui nous cache la plaine, v.101 (Acte 1, scène 2, NEPTUNE)
On n'a jamais que de beaux jours, v.112 (Acte 1, scène 3, UNE HABITANTE)
Dans vos beaux yeux je vois briller v.181 (Acte 2, scène 1, UN MUSICIEN)
Et souvent et beaucoup ; mais toi, v.217 (Acte 2, scène 2, LE FAUNE)
Voici la beauté que j'adore. v.221 (Acte 2, scène 2, CORIDON)
Une jeune beauté, v.229 (Acte 2, scène 2, LE FAUNE)
Vous me plaisez beaucoup ; mais je ne languis pas. v.252 (Acte 2, scène 2, LE FAUNE)
C'est un beau fils, un fidèle Pasteur, v.257 (Acte 2, scène 2, LE FAUNE)
Aux beautés les plus cruelles v.261 (Acte 2, scène 2, CORIDON)
À l'ombre de ces beaux buissons. v.333 (Acte 2, scène 3, PAN)
Chantent mille plaisirs nouveaux, v.350 (Acte 2, scène 3, LA DRYADE)
Et le doux murmure des eaux v.351 (Acte 2, scène 3, LA DRYADE)
Ce sera, je crois, quelque chose de fort beau que ce Divertissement champêtre. (Acte 2, scène 4, ÉRIPHYLE)
Dans ses beaux ans. v.473 (Acte 2, scène 5, LE MARIÉ)

CÉPHALE ET PROCRIS (1711)

Dans ses beaux jours si tendrement chéri, v.159 (Acte 1, scène 1, THALIE)
Usurpateurs du nom de beaux esprits du temps? v.216 (Acte 1, scène 1, THALIE)
Cette nouveauté puisse aujourd'hui trouver grâce. v.225 (Acte 1, scène 1, THALIE)
Ce beau séjour pour moi n'en a pas moins de charmes, v.247 (Acte 2, scène 1, PHILACTE)
Dans les plus beaux jardins d'Athènes v.250 (Acte 2, scène 1, PHILACTE)
Mais j'aperçois une jeune beauté, v.278 (Acte 2, scène 1, PHILACTE)
C'est mon premier métier, et mon plus beau talent, v.296 (Acte 2, scène 2, PHILACTE)
Et la beauté ne gâte jamais rien. v.300 (Acte 2, scène 2, PHILACTE)
Je dis que c'est ici pour moi le plus beau jour, v.315 (Acte 2, scène 2, PHILACTE)
Plus beau, plus vif il reparaît : v.383 (Acte 2, scène 2, PHILACTE)
Les rochers, les coteaux, tout a changé de place, v.386 (Acte 2, scène 2, PHILACTE)
Que j'avais déjà la peau dure, v.420 (Acte 2, scène 2, PHILACTE)
Séjour digne des Dieux, et trop beau pour les hommes ; v.435 (Acte 2, scène 2, PHILACTE)
Ni d'une pareille beauté, v.480 (Acte 2, scène 2, PHILACTE)
Il n'est point de beauté comparable à la sienne, v.483 (Acte 2, scène 2, CALLITÉE)
Et quels droits sa beauté lui donne sur un coeur ! v.538 (Acte 2, scène 2, PHILACTE)
Emportent le beau des amours, v.577 (Acte 2, scène 2, PHILACTE)
Un nouveau marié ? Cela n'est pas trop bien, v.586 (Acte 2, scène 2, PHILACTE)
Pensent-ils que sensible à de nouveaux appas? v.615 (Acte 2, scène 3, CÉPHALE)
L'embarras est au coeur beaucoup plus qu'à la tête, v.622 (Acte 2, scène 3, CALLITÉE)
Je vous crois là-dessus beaucoup de connaissance. v.625 (Acte 2, scène 3, PHILACTE)
En est-il que votre beauté v.799 (Acte 2, scène 5, CÉPHALE)
Vous rallumez ceux du flambeau du jour, v.801 (Acte 2, scène 5, C?PHALE)
Dans quel trouble nouveau tant de faveurs me plonge ? v.812 (Acte 2, scène 5, CÉPHALE)
Le Soleil, le plus beau des Dieux, v.824 (Acte 2, scène 5, L'AURORE)
Vous ayez à lâcher le beau Monsieur Céphale ; v.953 (Acte 2, scène 7, MERCURE)
Chez elle le bienfait n'est pas toujours nouveau. v.989 (Acte 2, scène 7, L'AURORE)
Quand Jupiter de son cerveau v.990 (Acte 2, scène 7, L'AURORE)
Doive tirer beaucoup de vanité, v.1015 (Acte 2, scène 7, L'AURORE)
Sans beaucoup réfléchir, tout ce qu'il vous plaira. v.1032 (Acte 2, scène 7, MERCURE)
Et les fleurs qu'en ce beau séjour v.1108 (Acte 2, scène , UNE NYMPHE)
Et parmi de simples beautés, v.1153 (Acte 3, scène 1, PHILACTE)
Il serait beau qu'une mortelle v.1297 (Acte 3, scène 2, PHILACTE)
À la beauté qui vous est chère, v.1343 (Acte 3, scène 3, L'AURORE)
Si sa beauté vous la rendit aimable, v.1359 (Acte 3, scène 3, L'AURORE)
De ce nouveau visage au vôtre ! v.1426 (Acte 3, scène 4, PHILACTE)
Si sous ces traits nouveaux je venais à lui plaire ! v.1460 (Acte 3, scène 4, CÉPHALE)
La peau du visage me tire, v.1501 (Acte 3, scène 5, PHILACTE)
Suis-je beau ? v.1514 (Acte 3, scène 5, PHILACTE)
De ces jardins admirez la beauté. v.1535 (Acte 3, scène 7, DIONE)
De beau, de grand, de gracieux, v.1545 (Acte 3, scène 7, PROCRIS)
D'aimer beaucoup les gens qui m'aiment peu. v.1576 (Acte 3, scène 7, DIONE)
Passer les plus beaux de vos jours ? v.1581 (Acte 3, scène 7, DIONE)
Que tout me charmerait, Dione, en ces beaux lieux, v.1601 (Acte 3, scène 7, PROCRIS)
Se cache-t-il ? Quelle est cette beauté qu'il aime ? v.1671 (Acte 3, scène 8, PROCRIS)
Ah ! Si son coeur brûle d'un nouveau feu, v.1672 (Acte 3, scène 8, PROCRIS)
Et sous de nouveaux traits devenu plus aimable, v.1747 (Acte 3, scène 10, PHILACTE)
Elle a beau faire, il faut bien qu'elle avale v.1849 (Acte 3, scène 12, DIONE)
Son absence aurait beau durer, v.1870 (Acte 3, scène 12, PHILACTE)
Dans ces beaux lieux l'aimable Philomèle, v.1989 (Acte 3, scène 14, UNE NYMPHE)
À vous voir faire un nouveau choix, v.2003 (Acte 3, scène 14, DEUX NYMPHES)
Au plus beau de son printemps. v.2017 (Acte 3, scène 14, UNE AUTRE NYMPHE)
Avaient tous les attraits et toute la beauté, v.2035 (Acte 4, scène 1, CALLITÉE)
N'ajoutât pas beaucoup encore à leur fierté ? v.2037 (Acte 4, scène 1, CALLIT?E)
Sur toute nouveauté la pétulance abonde, v.2129 (Acte 4, scène 2, MERCURE)
Mais sous de nouveaux traits il est bien dangereux v.2262 (Acte 4, scène 3, PHILACTE)
Leur nouveauté m'étonne ! Quoi ! v.2376 (Acte 4, scène 8, PROCRIS)
Il est moins beau que l'amant de Procris, v.2435 (Acte 4, scène 9, DIONE)
Tout est nouveau pour moi dans votre empire, v.2522 (Acte 4, scène 10, PROCRIS)
Nous ferons un jour un beau charivari : v.2642 (Acte 4, scène 10, PHILACTE)
Petits Oiseaux, courtisans de l'Aurore, v.2656 (Acte 4, scène 12, UNE NYMPHE)

MADAME ARTUS (1707)

À quinze ans, il perdit beaucoup de perdre un père : v.7 (Acte 1, scène 1, MERLIN)
Et peut-être est-il bon que de vos beaux exploits, v.169 (Acte 1, scène 4, MERLIN)
Ah, ah ! Nous allons voir beau jeu. ! v.193 (Acte 1, scène 4, MERLIN)
Un Bois ! De son Château le plus bel ornement ! v.210 (Acte 1, scène 5, DAMIS)
Non. Vous n'avez jamais été à Kerkameau, v.225 (Acte 1, scène 5, MERLIN)
Non ? C'est l'endroit le plus beau, v.226 (Acte 1, scène 5, MERLIN)
Le beau lieu ! v.229 (Acte 1, scène 5, MERLIN)
Kerkameau le Château, Monsieur, est à mi-côte, v.236 (Acte 1, scène 5, MERLIN)
Et partant le Château n'avait aucunes vues. v.240 (Acte 1, scène 5, MERLIN)
Il en faut, le fait est de savoir d'un Château v.241 (Acte 1, scène 5, MERLIN)
Ce qui plaît mieux à voir, ou des bois, ou de l'eau. v.242 (Acte 1, scène 5, MERLIN)
J'aime l'eau. v.243 (Acte 1, scène 5, DAMIS)
Puis des coteaux lointains perdus dans l'horizon ; v.246 (Acte 1, scène 5, MERLIN)
C'est un morceau, mon oncle à vous surprendre. v.256 (Acte 1, scène 5, DORANTE)
Il n'en reste, Monsieur, aucun morceau sur terre, v.259 (Acte 1, scène 5, MERLIN)
Jamais tant de beauté, jamais tant de mérite, v.499 (Acte 2, scène 3, ÉRASTE)
Sa beauté dans le monde a fait peu de fracas, v.569 (Acte 2, scène 3, ÉRASTE)
Le portrait en est beau : mais il n'est point flatté. v.573 (Acte 2, scène 3, FINETTE)
S'il vous plaît, beaucoup de patience, v.575 (Acte 2, scène 3, FINETTE)
Point de nouveau transport. v.738 (Acte 3, scène 2, ÉRASTE)
Cela te surprend donc beaucoup ? v.742 (Acte 3, scène 2, ÉRASTE)
Sur quel heureux mortel ce beau choix tombe enfin ? v.749 (Acte 3, scène 2, ÉRASTE)
Sans vous donner beaucoup de satisfaction. v.814 (Acte 3, scène 4, ÉRASTE)
Oui, de tout le Printemps, c'est un des plus beaux jours ; v.849 (Acte 3, scène 6, FINETTE)
Jamais nulle beauté n'a? v.858 (Acte 3, scène 6, FINETTE)
Si son coeur n'était pas sensible à sa beauté ; v.862 (Acte 3, scène 6, FINETTE)
Oui, j'aime aussi beaucoup l'art d'ingénuité. v.894 (Acte 3, scène 7, MADAME ARTUS)
Allez dans mon bureau, v.917 (Acte 3, scène 7, MADAME ARTUS)
(Ursule en a les clefs) en choisir un morceau, v.918 (Acte 3, scène 7, MADAME ARTUS)
En vous de la beauté croit voir la fille aînée. v.964 (Acte 3, scène 9, MADAME ARTUS)
L'union des beautés de l'âme et du visage, v.967 (Acte 3, scène 9, MADAME ARTUS)
Si mon peu de beauté vous peut intéresser, v.1017 (Acte 3, scène 13, MASSINE)
Quelque pied-plat sera donc mon beau-père ? v.1103 (Acte 4, scène 1, DORANTE)
Rassure-toi ; Voilà ton prétendu beau-père. v.1132 (Acte 4, scène 3, DAMIS)
Vous lui devez beaucoup pour cette préférence, v.1167 (Acte 4, scène 3, DAMIS)
Feindre beaucoup d'amour pour elle, c'est le point. v.1221 (Acte 4, scène 3, ÉRASTE)
Le beau talent ! Il loge ! v.1231 (Acte 4, scène 3, DORANTE)
Monsieur, que de troubler un si beau tête à tête. v.1312 (Acte 4, scène 5, MERLIN)
Qui gouverne, je crois, le cerveau de chacune. v.1448 (Acte 5, scène 1, MERLIN)
Il vous aime, et n'a pu cacher un si beau feu. v.1606 (Acte 5, scène 10, DAMIS)
Ah ! Que dans tout ceci vous jouez un beau rôle, v.1704 (Acte 5, scène 14, CÉLIDE)

LE MARI RETROUVÃ‰ (1698)

Il ne dépend pas de moi de résister aux charmes de l'aimable Colette, et son mérite et sa beauté me paraissent dignes d'une fortune plus considérable que celle que je puis lui faire. (Acte 1, scène 1, CLITANDRE)
Cette aventure-là fera du bruit, Monsieur, et ce sera un des beaux chapitres du roman de votre vie. (Acte 1, scène 1, LÉPINE)
Je crois lire sans ses yeux et dans ses manières qu'elle n'est pas insensible à ma tendresse : mais j'ai beau la presser de consentir à l'union que vous voulez faire, l'éloignement de votre mari, le dessein qu'il avait de lui faire épouser ce malheureux Bailli, la crainte où elle est qu'à son retour il ne fasse éclater son ressentiment contre vous... (Acte 1, scène 2, CLITANDRE)
Si la nièce suit l'exemple et les leçons de la tante, vous allez faire un beau mariage, Monsieur. (Acte 1, scène 2, LÉPINE)
Beau, bien fait. (Acte 1, scène 3, JULIENNE)
À la peinture qu'elle a faite pourtant, je me suis reconnu trait pour trait : beau, bien fait. (Acte 1, scène 4, LÉPINE)
Je sais bien qu'ils ne s'aiment guères : mais ça ne fait rien ; une femme a beau ne se pas soucier de son mari, elle aime toujours bien mieux qu'il soit mort, que non pas qu'il en épouse d'autres. (Acte 1, scène 5, MADAME AGATHE)
Êtes-vous bien content de votre nouveau ménage, Monsieur Julien ? (Acte 1, scène 8, MADAME AGATHE)
Tenez, Monsieu de Lépeine, alle faisait cent fois plus de caresse aux francs moigneaux que je lui dénichais, qu'à tous les marles que lui baillaient les autres. (Acte 1, scène 11, CHARLOT)

LE TUTEUR (1694)

C'est par hasard qu'elle est entre mes mains ; je ne sais ce qu'elle signifie, mais le coeur me dit quelque chose de bon, et je me flatte que nous allons voir de la nouveauté dans nos affaires. (Acte 1, scène 4, LISETTE)
Et avec ces beaux sentiments-là, vous mourrez vieille fille, cela est cruel : Monsieur Bernard, pour ne point rendre compte de votre bien, écartera tous les prétendants ; car enfin il n'a point eu jusqu'ici de bonnes raisons pour rebuter ceux qui vous ont demandée. (Acte 1, scène 4, LISETTE)
Oh, si c'est pour cela, qu'il nous laisse enlever, cela vaut beaucoup mieux. (Acte 1, scène 6, LISETTE)
Accoutez, mettons tout le monde dehors, et ne demeurons que nous quatre, je ne serons jaloux de parsonne, et je varrons beau jeu, ne vous boutez pas en peine. (Acte 1, scène 7, LUCAS)
Madame sa mère est aussi folle de vous que le fils, c'est beaucoup. (Acte 1, scène 14, L'OLIVE)
C'est par ordre de Monsieur que tout cela se fait, il veut nous éprouver ; et cela n'est ,ni beau, ni honnête de soupçonner de pauvres innocentes comme nous, et de faire sonder notre pudeur par un Peintre, et par un maraud de Jardinier. (Acte 1, scène 18, LISETTE)
Oh, tu as beau fuir, tu ne m'échapperas pas. (Acte 1, scène 21, L'OLIVE)
Je m'y déplais beaucoup, mon oncle, je vous l'avoue. (Acte 1, scène 23, ANGÉLIQUE)

LES VENDANGES (1694)

Le beau raisonnement ! (Acte 1, scène 1, MARGOT)
Hé bien, ma tante, il y avait un beau jeune Monsieur tout doré. (Acte 1, scène 1, CLAUDINE)
Vela de beaux contes, tu as des amis, mais tu paies toujours. (Acte 1, scène 2, MARGOT)
Acoute, Margot, je fons demain vendange, vela le vin nouveau, il faut vider le vieux, j'ons besoin de futailles. (Acte 1, scène 2, LUCAS)
Vous n'avez qu'à parler, l'oncle aura beau dire, je serons mariés quand il vous plaira. (Acte 1, scène 8, LE COLLECTEUR)
Lucas n'a-t-il pas un beau secret ! v.15 (Acte 1, scène 12, L'OLIVE)
Ma chère Madame Margot, vous avez beau m'aimer, cela n'a rien de solide : il faut que je songe à un établissement, permettez de grâce? (Acte 1, scène 13, ÉRASTE)

LES EAUX DE BOURBON (1697)

Me voilà quitte de mes petites fonctions de la matinée ; j'ai bu mes eaux, pris mon bouillon, rendu mon remède, et mangé ma petite soupe, je me sens comme un pinson. (Acte 1, scène 2, LE BARON)
Oh que j'ai été bien conseillé de venir aux Eaux cette année ! (Acte 1, scène 2, LE BARON)
Et ce Chevalier qui est si beau joueur, et qui me gagne tous les jours mon argent : l'agréable homme ! (Acte 1, scène 2, LE BARON)
Oh, cela est bien changé, mon pauvre Monsieur_le_Baron, je n'en puis plus ; les eaux me sont mortelles, et l'on m'enterrera ici, je pense. (Acte 1, scène 7, LA PRÉSIDENTE)
Avez-vous vu ma soeur aînée, Monsieur Grognet, Madame_la_Comtesse de la Ratatinière, qui arriva hier, et qui vient prendre des eaux pour son inflammation de poitrine ? (Acte 1, scène 7, LA PRÉSIDENTE)
La tête me fend, Monsieur Grognet, vos Eaux de Bourbon me rendent plus malade que je ne l'étais, quand je suis arrivée. (Acte 1, scène 7, LA PRÉSIDENTE)
J'y viens, j'y viens faire comme beaucoup d'autres, changer de plaisir et d'occupation ; respirer un autre air que celui de Paris, faire quelque nouvelle connaissance pour passer l'hiver agréablement ; et que sait-on ce qui peut arriver ? (Acte 1, scène 10, LA MARQUISE)
Tout dépérit à Paris, ma chère enfant : nous n'avons presque plus de beaux joueurs ; les meilleurs même, sont en Province ; à Turin, à Lyon, à Chambéry. (Acte 1, scène 10, LA MARQUISE)
Vraiment oui, je le connais ; c'est son département, que les Eaux de Bourbon, il en rend quelque chose à la bourse commune ; il y a deux ans qu'il y était encore en Officier Suisse. (Acte 1, scène 10, LA MARQUISE)
Et sur quel prétexte vient-il aux Eaux cette année ? (Acte 1, scène 10, LA MARQUISE)
Si l'on ne faisait ses petites affaires qu'avec les personnes qui ont vraiment besoin de prendre des Eaux... (Acte 1, scène 12, MADAME GUIMAUVIN)
Tu connais ce vieux Baron de Saint Aubin, qui est à Bourbon depuis trois semaines, et vous vous souvenez tous deux de ce petit homme qui a été tout le printemps ici à prendre des eaux ? (Acte 1, scène 23, BABET)
Si le maître et le valet sont de même caractère, vous avez beau jeu, Madame. (Acte 1, scène 17, MADAME GUIMAUVIN)
Voilà un beau ménagement. (Acte 1, scène 17, MADAME GUIMAUVIN)
Le vieux penard qui vient Eaux de Bourbon épouser sa bru : il n'y aurait ma foi, qu'à le laisser faire, nous verrions de belles choses. (Acte 1, scène 22, LA ROCHE)
Buvons tous rasade de ces eaux, v.21 (Acte 1, scène 30, TOUS LES ACTEURS ET ACTRICES)
Je crève, j'enrage ; et voilà de quoi déranger tout le bien que les Eaux de Bourbon m'auraient pu faire. (Acte 1, scène 30, LE BARON)
Et son eau guérit sans peine, v.25 (Acte 1, scène 2, UN DES ACTEURS)
La jeunesse et la beauté. v.28 (Acte 1, scène 2, UN DES ACTEURS)
De par la Faculté, je viens défendre l'eau ; v.33 (Acte 1, scène 2, UNE ACTRICE)
Un petit doigt de vin nouveau. v.36 (Acte 1, scène 2, UNE ACTRICE)
L'eau n'est qu'une liqueur ingrate, v.37 (Acte 1, scène 2, UNE ACTRICE)
Qui mène tout droit au tombeau ; v.38 (Acte 1, scène 2, UNE ACTRICE)
Sont ceux qu'on prend dans le tonneau. v.40 (Acte 1, scène 2, UNE ACTRICE)
Tous les buveurs d'eau de Bourbon, v.61 (Acte 1, scène 2, LE PANTALON)
Ces eaux sont dans l'occasion, v.63 (Acte 1, scène 2, LE PANTALON)
Tous les buveurs d'eau de Bourbon, v.65 (Acte 1, scène 2, LE PANTALON)
Tous les buveurs d'eau de Bourbon, v.69 (Acte 1, scène 2, LE PANTALON)
Près du beau sexe un vieux barbon, v.71 (Acte 1, scène 2, LE PANTALON)
N'y fait que de l'eau toute claire. v.72 (Acte 1, scène 2, LE PANTALON)
Tous les buveurs d'eau de Bourbon, v.73 (Acte 1, scène 2, LE PANTALON)
Tous les buveurs d'eau de Bourbon, v.77 (Acte 1, scène 2, LE PANTALON)
Tous les buveurs d'eau de Bourbon, v.81 (Acte 1, scène 2, LE PANTALON)

L'IMPROMPTU DE GARNISON. (1692)

Ma foi, Monsieur, cela vaut davantage ; nous sommes ici de nouveaux débarqués ; il faut un peu payer sa bienvenue : mettez trente pistoles ; comme elle n'est pas intéressée, elle en prendra plutôt trente que dix. (Acte 1, scène 1, MERLIN)
C'est à bonne intention une fois ; et croyez-moi, vous êtes jeune, ne contraignez point votre coeur, si vous voulez faire un tendre usage de vos beaux jours. (Acte 1, scène 2, MARTON)
Oh, je suis votre servante, j'ai reçu trente pistoles, je les garde ; c'est sur nouveaux frais qu'on nous emploie : si cela ne vous accommode pas? (Acte 1, scène 4, MARTON)
Hé, pourquoi n'est-il pas dans le Château comme les autres ? (Acte 1, scène 4, MERLIN)
Il pourrait être tué dans le Château ; au pis aller, il ne sera que marié dans la Ville. (Acte 1, scène 4, MARTON)
Tenez, Madame, vous ressemblez à l'Empereur Trajan comme deux gouttes d'eau ; vous avez tous les traits d'un grand personnage. (Acte 1, scène 6, MARTON)
Ils aiment fort les beautés Romaines. (Acte 1, scène 6, MARTON)
Je n'avais jamais ouï dire que tu eusses un si beau talent. (Acte 1, scène 6, ARAMINTE)
Ce serait un beau compliment à lui faire, je n'ai garde. (Acte 1, scène 6, ARAMINTE)
Vous voyez, Madame, ce que peut l'amour sur un coeur bien fait : c'est lui qui me retient ici quand tous les autres sont dans le Château. (Acte 1, scène 8, DON JULIEN)
Allez vous renfermer dans le Château, Monsieur. (Acte 1, scène 8, ARAMINTE)
Pour moi, je ne fais jamais rien d'inutile : si le Château est pris, il en faudrait sortir. (Acte 1, scène 8, DON JULIEN)
Entrez dans le château, s'il est possible, et tâchez de vous faire tuer, je vous en conjure. (Acte 1, scène 10, ARAMINTE)
Je ne serai pas fâchée qu'il soit un peu pendu, il a le cerveau mal timbré. (Acte 1, scène 10, ARAMINTE)
Il y en a de plusieurs espèces ; mais ordinairement ce sont de jeunes gens entêtés de leur qualité, badins, folâtres, enjoués, qui parlent beaucoup et qui disent peu, soupirant sans tendresse, amoureux par conversation, magnifiques sans biens, généreux en promesses, prodigues d'amitiés, inventeurs de modes, et des airs surtout. (Acte 1, scène 11, MARTON)
Tudieu, mon cadet, quel friand morceau ! (Acte 1, scène 13, MERLIN)
Halte-là, s'il vous plaît, les personnes de la Ville à l'assaut du château, testigué queu ménage. (Acte 1, scène 18, LA VERDURE)
Lui, morgué, vous ne le reverrez point, il a beau dire. (Acte 1, scène 18, LA VERDURE)
Le Château capitule, Monsieur. (Acte 1, scène 20, MERLIN)
Le Château capitule ! (Acte 1, scène 20, CLITANDRE)
Oh, pour le coup, elle a beau l'appeler, il ne partira point qu'il ne m'est épousée. (Acte 1, scène 20, ARAMINTE)

Dans les 1862 textes du corpus, il y a 51 textes (soit une présence dans 2,74 % des textes) dans lesquels il y a 1149 occurences de la forme recherchée, soit une moyenne de 22,53 occurences par texte.

n°	Titres	Prologue	Acte 2	Acte 1	Acte 3	Acte 4	Acte 5	Acte 6	Total
1	L'OP?RATEUR BARRY	8	10	0	0	0	0	0	18
2	L'OPÉRATEUR BARRY	0	7	0	0	0	0	0	7
3	LES AGIOTEURS	0	12	5	10	0	0	0	27
4	LES ENFANTS DE PARIS	0	9	6	3	5	5	0	28
5	LES FONDS PERDUS	0	8	6	2	0	0	0	16
6	LA TRAHISON PUNIE	0	2	5	5	4	13	0	29
7	NOUVEAU PROLOGUE, ET NOUVEAUX DIVERTISSEMENTS	0	1	0	0	0	0	0	1
8	NOUVEAU PROLOGUE, ET NOUVEAUX DIVERTISSEMENTS	0	5	7	1	4	0	5	22
9	L'IMPROMPTU DE SURESNES	0	12	0	0	0	0	0	12
10	L'IMPROMPTU DE SURESNES	0	5	4	0	0	0	0	9
11	LE CHEVALIER ? LA MODE	0	3	13	2	5	3	0	26
12	LA F?TE DE VILLAGE.	0	15	23	3	0	0	0	41
13	LA COM?DIE DES COM?DIENS	0	5	5	6	0	0	0	16
14	LA COMÉDIE DES COMÉDIENS	0	1	0	0	1	0	0	2
15	SANCHO PANÇA, GOUVERNEUR	0	18	12	7	8	15	0	60
16	SECOND CHAPITRE DU DIABLE BOITEUX	0	19	8	0	0	0	0	27
17	SECOND CHAPITRE DU DIABLE BOITEUX	0	1	0	0	0	0	0	1
18	LA FEMME D'INTRIGUES.	0	7	10	5	3	12	0	37
19	LES F?ES.	0	11	0	0	3	0	0	14
20	LES FÉES.	0	1	2	0	0	0	0	3
21	LES BOURGEOISES ? LA MODE.	0	1	2	3	2	5	0	13
22	LA MÉTEMPSYCOSE	0	20	11	17	2	10	0	60
23	NOUVEAU PROLOGUE, ET NOUVEAUX DIVERTISSEMENTS	0	11	5	0	0	0	0	16
24	CÉPHALE ET PROCRIS	0	28	3	21	9	0	0	61
25	MADAME ARTUS	0	4	15	13	6	3	0	41
26	LES VACANCES	0	0	24	0	0	0	0	24
27	LES VACANCES	0	0	16	0	0	0	0	16
28	LA D?ROUTE DU PHARAON	0	0	18	0	0	0	0	18
29	LA DÉROUTE DU PHARAON	0	0	3	0	0	0	0	3
30	LA MAISON DE CAMPAGNE	0	0	12	0	0	0	0	12
31	LE GALANT JARDINIER	0	0	15	0	0	0	0	15
32	LE GALANT JARDINIER	0	0	3	0	0	0	0	3
33	LES CURIEUX DE COMPI?GNE	0	0	11	0	0	0	0	11
34	LES CURIEUX DE COMPIÈGNE	0	0	1	0	0	0	0	1
35	RENAUD ET ARMIDE	0	0	4	0	0	0	0	4
36	RENAUD ET ARMIDE	0	0	1	0	0	0	0	1
37	LA FOLLE ENCH?RE	0	0	18	0	0	0	0	18
38	LE RETOUR DES OFFICIERS	0	0	41	0	0	0	0	41
39	LE RETOUR DES OFFICIERS	0	0	3	0	0	0	0	3
40	L'OP?RA DE VILLAGE	0	0	9	0	0	0	0	9
41	DIVERTISSEMENT DE SCEAUX	0	0	7	0	0	0	0	7
42	LE CHARIVARI	0	0	9	0	0	0	0	9
43	LE CHARIVARI	0	0	1	0	0	0	0	1
44	LE VERT-GALANT	0	0	7	0	0	0	0	7
45	LE BON SOLDAT	0	0	9	0	0	0	0	9
46	LE PRIX DE L'ARQUEBUSE	0	0	23	0	0	0	0	23
47	LE PRIX DE L'ARQUEBUSE	0	0	4	0	0	0	0	4
48	LES F?TES NOCTUNES DU COURS	0	0	9	0	0	0	0	9
49	LES FÊTES NOCTUNES DU COURS	0	0	6	0	0	0	0	6
50	LE DIABLE BOITEUX	0	0	18	0	0	0	0	18
51	LE DIABLE BOITEUX	0	0	3	0	0	0	0	3
52	COLIN-MAILLARD.	0	0	9	0	0	0	0	9
53	COLIN-MAILLARD.	0	0	5	0	0	0	0	5
54	LA PARISIENNE	0	0	6	0	0	0	0	6
55	L'?T? DES COQUETTES	0	0	25	0	0	0	0	25
56	L'ÉTÉ DES COQUETTES	0	0	1	0	0	0	0	1
57	LA D?SOLATION DES JOUEUSES	0	0	18	0	0	0	0	18
58	L'IMPROMPTU DE LIVRY	0	0	4	0	0	0	0	4
59	L'IMPROMPTU DE LIVRY	0	0	8	0	0	0	0	8
60	LA FOIRE DE BESONS	0	0	15	0	0	0	0	15
61	LA FOIRE DE BESONS	0	0	4	0	0	0	0	4
62	LA FOIRE SAINT GERMAIN	0	0	13	0	0	0	0	13
63	LA FOIRE SAINT GERMAIN	0	0	1	0	0	0	0	1
64	LES VENDANGES DE SURESNES	0	0	42	0	0	0	0	42
65	LES VENDANGES DE SURESNES	0	0	2	0	0	0	0	2
66	LA LOTERIE	0	0	21	0	0	0	0	21
67	LE MOULIN DE JAVELLE.	0	0	23	0	0	0	0	23
68	LE MOULIN DE JAVELLE.	0	0	1	0	0	0	0	1
69	LA GAZETTE	0	0	8	0	0	0	0	8
70	LE MARI RETROUV?	0	0	9	0	0	0	0	9
71	LE TUTEUR	0	0	8	0	0	0	0	8
72	LES VENDANGES	0	0	6	0	0	0	0	6
73	LES VENDANGES	0	0	1	0	0	0	0	1
74	LES EAUX DE BOURBON	0	0	16	0	0	0	0	16
75	LES EAUX DE BOURBON	0	0	17	0	0	0	0	17
76	L'IMPROMPTU DE GARNISON.	0	0	21	0	0	0	0	21
77	LA FÊTE DE VILLAGE.	0	0	0	0	2	0	0	2
78	LA FEMME D'INTRIGUES.	0	0	0	0	1	0	0	1
	Total	8	216	701	98	55	66	5	1149